3 février 2020 1 03 /02 /février /2020 19:31

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Quatrième de couverture : 
Lorsque Sarah rencontre Théo, c’est un choc amoureux. Elle, l’écorchée vive, la punkette qui ne s’autorisait ni le romantisme ni la légèreté, se plaisant à prédire que la Faucheuse la rappellerait avant ses 40 ans, va se laisser convaincre de son droit au bonheur par ce fou de Capra et de Fellini.

Dans le tintamarre joyeux de leur jeunesse, de leurs amis et de leurs passions naît Simon. Puis, Sarah tombe enceinte d’une petite fille. Mais très vite, comme si leur bonheur avait provoqué la colère de l’univers, à l’euphorie de cette grossesse se substituent la peur et l’incertitude tandis que les médecins détectent à Sarah un cancer qui progresse à une vitesse alarmante. Chaque minute compte pour la sauver. 

Le couple se lance alors à corps perdu dans un long combat, refusant de sombrer dans le désespoir.

Un récit d’une légèreté et d’une grâce bouleversantes, entre rire et larmes, dont on ressort empreint de gratitude devant la puissance redoutable du bonheur.

Mon avis : 
Quel livre !

Je savais en l'ouvrant que le sujet n'était pas facile, le personnage de Sarah nous l'annonce d'ailleurs d'emblée : elle va mourir.
C'est un roman mais je savais aussi via les réseaux sociaux que l'auteur avait vécu la même épreuve et cela m'avait suffisamment marquée à l'époque pour que je m'en souvienne.

Même si la mort rôde tout au long du livre c'est pourtant une histoire de vie, d'amour, d'espoir, de courage, de solidarité, c'est magnifique !

J'ai souri, j'ai frémi, j'ai pleuré, et les personnages vont m'accompagner pendant un certain temps c'est sûr.

Un très beau premier roman qui valait bien que je sorte de ma tanière.

Merci à Babelio et surtout à l'auteur !

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30 septembre 2019 1 30 /09 /septembre /2019 04:00

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10 ans de blog aujourd'hui et aussi 10 ans de plus pour moi le même jour...

10 ans de blog et envie d'une pause...

10 ans de blog et besoin de fonctionner autrement...

10 ans de blog et mes avis directement sur Facebook (ici)  et Instagram... je teste pour voir si cela me convient, n'hésitez pas à m'y rejoindre et à commenter, comme sur le blog je répondrai aux commentaires.
Je reste aussi sur Babelio (pseudo SD49).

10 ans de blog et ... de belles rencontres, des amitiés, des échanges à gogo, des cadeaux, du sport (oui, oui), et toujours de la lecture, des romans, des BD, des livres audio.

Ce blog est vraiment une belle expérience mais j'ai maintenant envie de changer un peu de façon de communiquer alors à très bientôt sur FB ou Instagram ! sans pression en fonction de mes envies ou pas...

Je pense que je vais garder la page Facebook de mon blog pour y donner mon avis directement (lien dans la colonne de droite) et ne pas mélanger avec mon compte personnel

J'en profite pour vous remercier, vous tous les lecteurs de mon blog, ceux qui ne font que passer et ceux qui laissent des commentaires, ceux que je connais pour de vrai et les autres, j'espère que vous pourrez me suivre dans cette nouvelle façon de partager mes avis de lecture. Et peut-être que plus tard je reviendrai par ici... on verra

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22 septembre 2019 7 22 /09 /septembre /2019 18:31

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Quatrième de couverture :
On rit. C'est étonnant parce que, pris séparément, aucun d'entre eux ne pensait que la situation les pousserait à l'hilarité - or, de façon tout à fait inattendue, ils font contre mauvaise fortune bon coeur et les voilà qui s'esclaffent et qui se mettent à papoter, retrouvant les réflexes de cour de récréation, mais avec cet air de liberté unique qu'apporte avec lui l'Arbalète filant vers Paris. 

1975. Tandis que le pays subit les effets du premier choc pétrolier, que les femmes revendiquent leurs droits et que la mixité s'impose dans les cours de récréation, rien ne semble devoir troubler le quotidien des familles d'instituteurs du groupe scolaire Denis-Diderot. À moins que le train du changement ne s'engouffre tout à coup dans les classes et les corps et ne redessine les frontières d'un monde très différent.

Mon avis : 
L'école primaire dans les années 70 : je l'ai connue
Le passage à la mixité en sixième : je l'ai connu
Cela me paraît très....très loin évidemment. Et pourtant de nombreux passages m'ont rappelé des souvenirs aussi bien dans les musiques évoquées que dans la société de l'époque.

Je suis un peu déçue car je n'ai pas accroché à cette histoire, je ne me suis pas attachée aux personnages.
La description de la vie de cet ensemble scolaire m'a paru longue et ne m'a pas trop intéressée, ils vivaient vraiment les uns sur les autres, ensemble aussi bien dans la journée que dans leur lieu d'habitation, pas beaucoup de liberté ni d'intimité.

Il faut attendre presque la moitié du livre avant que cela bouge un peu et que ça tourne un peu en vaudeville.... mouais...

J'aime toujours l'écriture de l'auteur mais pas trop ce roman, je vais maintenant attendre le prochain.

Livre de ma

 

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14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 16:14

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Quatrième de couverture :
Brillante avocate, Solène tente de se reconstruire après un burn out. Acceptant une mission bénévole d'écrivain public, elle est envoyée au Palais de la Femme, vaste foyer au cœur de Paris. Les résidentes s'appellent Binta, Sumeya, Cvetana, Salma ou la Renée et viennent du monde entier. Lorsqu'elles voient arriver Solène, elles se montrent méfiantes. Solène vacille mais s'acharne, bien décidée à trouver sa place auprès de ces femmes aux destins tourmentés... 
Un siècle plus tôt, Blanche Peyron oeuvre en faveur des démunis. Elle a voué sa vie à l'Armée du Salut et rêve d'offrir un refuge à toutes les exclues de la société. Le chemin est ardu, mais Blanche ne renonce jamais. 
Laetitia Colombani donne vie à ces Victorieuses anonymes, à Blanche l'oubliée, à toutes celles qui refusent de se résigner. Un hymne à la solidarité prodigieusement romanesque.

Mon avis : 
Après mon coup de cœur pour La tresse (ici) du même auteur j'avais très envie de découvrir son deuxième roman.

Je l'ai commencé sans rien en savoir et en évitant d'ailleurs de lire les avis s'y rapportant.
C'est l'histoire d'un même lieu entre sa création en 1925 et ce qui s'y passe de nos jours, mais aussi et surtout la vie des femmes qui y sont hébergées et de celle qui a participé à sa création.

C'est donc encore une histoire de femmes, de femmes blessées par la vie mais qui trouvent secours et hébergement dans ce bâtiment qui leur est dédié.

Une belle découverte de ce bâtiment et de son usage que je ne connaissais pas du tout.

Ce bâtiment est immense et je ne peux que vous conseiller de chercher des photos sur internet, c'est ce que j'ai fait durant ma lecture et on visualise mieux ce qui est décrit dans le roman (je n'ose pas en mettre ici à cause des droits d'auteur...).

J'aime beaucoup la sensibilité de l'auteur envers ses personnages.

L'avis de Stephie (ici

Roman de ma

 

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12 septembre 2019 4 12 /09 /septembre /2019 17:47

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Quatrième de couverture :
Responsable administratif dans une compagnie immobilière à Londres, Izzy Randall se distingue surtout par ses talents de pâtissière. Chaque semaine, elle régale tous ses collègues de délicieux gâteaux. Jusqu'au jour où une série de licenciements laisse la jeune femme sans travail, seule et désemparée. 

Izzy sent alors grandir en elle une idée folle : et si elle ouvrait sa propre boutique de pâtisseries ? Ne serait-elle pas capable de créer un lieu chaleureux ? D'inventer de nouvelles recettes de cupcakes colorés ? Ou de brownies ultra-fondants ? 

Alors qu'elle tente de contenir son imagination galopante, Izzy découvre un magasin à louer dans une ruelle pavée où pousse un frêle poirier... 


Mon avis :
La curiosité m'a fait emprunter ce roman à la bibliothèque pour découvrir ce que me réservait cet auteur après la série autour de la petite boulangerie (le tome 2 ici) que j'avais bien aimée. 

Le personnage principal, Izzy est très sympathique, de nombreuses personnes gravitent autour d'elle et l'histoire du cupcake café est agréable.

Les ingrédients :
- Quelques kilos de gourmandise
- Une bonne dose d'amitié
- Un soupçon d'amour
Mélanger le tout pour obtenir un roman plutôt sympathique mais pas super original.

Mes passages préférés sont sans conteste ceux avec le grand-père d'Izzy qui lui transmet ses recettes, leur relation est vraiment touchante.

Je pense m'arrêter là avec cet auteur car elle tourne toujours un peu autour du même sujet pour le moment (cupcake café et boulangerie).

Roman emprunté à la 

 

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9 septembre 2019 1 09 /09 /septembre /2019 18:15

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Résumé : 
« Saviez-vous que les petites filles naissent pour faire tourner leur jupon de princesse jusqu'à s'étourdir, pour massacrer les bâtons de rouge à lèvres en se tordant les chevilles sur les escarpins de leur mère, pour sauter sur les lits et s'admirer dans le grand miroir de l'entrée en récitant des poèmes ?
La mienne aussi. Enfin, c’est ce que je croyais ».

Au cours des heures suivant l’arrêt des soins qui maintiennent Rose en vie, ses parents croisent les héros de l'ombre qui les entourent. Leurs vies se racontent dans des portraits (la mère, la pédiatre ou le clown) qui embarquent le lecteur dans un monde d’émotions que généralement on tait. Il se glisse dans les conversations et partage les pensées de chacun pour mieux comprendre l’intensité inouïe du moment.

Une histoire d'amour avec un regard original sur l’inacceptable : la perte d'un enfant.

Un livre percutant et juste au style délicat, porteur d'espoir et de lumière.

Mon avis : 
J'hésite toujours un peu quand un auteur me propose son livre en direct. J'ai peur de ne pas aimer et de ne pas savoir en parler comme il faut. C'est bien plus facile quand c'est un livre que j'achète ou que j'emprunte à la bibliothèque car l'auteur me paraît alors bien loin de moi.

Alors j'ai accepté parce que le premier contact avec Hélène Machelon a été simple et chaleureux, j'ai accepté parce que j'ai déjà lu des livres sur ce sujet douloureux de la perte d'un enfant et que bien évidemment cela me touche en tant que maman.

J'ai aimé ce livre, beaucoup.
J'en ai d'abord aimé la construction, chaque chapitre donne la parole à une personne différente puis un chapitre sur la maman. Les narrateurs sont donc nombreux et variés en passant du pédiatre au clown de l'hôpital, ou d'une grand tante au thanatopracteur et d'autres plus ou moins proches de la famille de la petite Rose et qui ont croisé Rose ou ses parents à un moment ou à un autre de sa maladie.
J'aurais beaucoup aimé entendre la voix du papa, un peu plus que par les mots de la maman.

Le personnage qui m'a vraiment touchée est le thanatopracteur, tellement doux et attentionné pour préparer la petite Rose après sa mort, pour qu'elle soit toute belle.

C'est évidemment un sujet très douloureux mais ce n'est jamais larmoyant, c'est bien sûr très triste mais ce roman n'est pas écrit pour faire pleurer.

Une belle découverte, merci Hélène pour cette proposition, je suis bien contente de l'avoir acceptée.

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5 septembre 2019 4 05 /09 /septembre /2019 18:21

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Quatrième de couverture : 
Pressée, Denise Desantis est entrée dans un magasin en laissant la poussette de son dernierné devant la porte. Quand elle ressort, la poussette est vide. La disparition d'un enfant de treize mois est toujours une affaire douloureuse et le juge Conrad entend mener cette enquête avec le maximum de rigueur.

Ses investigations commencent par l'interrogatoire de Denise Desantis. Mère de quatre enfants, épouse d'un ouvrier sans grand caractère, elle vit pauvrement mais dignement dans sa petite maison de banlieue. Une femme sans histoires. Et pourtant… Derrière sa détresse, le juge est intrigué par la rigueur et la minutie de son témoignage. Au fil des jours, alors que tout prouve son innocence, une question taraude le juge : est-il possible que cette femme ait tué son enfant ?…

Mon avis : 
Malgré le titre de ce roman, les personnages jugent la maman dont le bébé a disparu, le lecteur aussi car elle a un comportement curieux. L'enchaînement des événements n'est pas clair au moment de l'enlèvement du bébé.

Tout au long de ma lecture j'ai ressenti une impression de malaise, d'éléments cachés, pas tout à fait assez de rythme à mon goût mais j'avais envie de savoir ce qui est arrivé à ce bébé et j'ai bien fait !

L'avis de Canel (ici)

Roman emprunté à la

 

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2 septembre 2019 1 02 /09 /septembre /2019 18:19

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Quatrième de couverture :
«J'ai cru qu'il était aveugle. C'est comme ça qu'il m'a eu.» Quand Linus, jeune fugueur de 16 ans, se réveille sur le sol d'un bunker profondément enfoui sous terre, c'est d'abord la panique qui le saisit. De toute évidence, il a été kidnappé et enfermé ici. Mais pour quel motif ? Et qu'attend-on de lui ? 

Une petite fille apeurée. Un vieil homme malade. Un toxicomane sur les nerfs. Un consultant arrogant. Une jeune femme dépressive. Capturés comme lui, en pleine ville, en plein jour. Nourris, désormais, et constamment filmés par des caméras. Pourquoi eux ? Et pourquoi maintenant ? 

Bientôt, et tandis que le temps commence à perdre de sa substance, que l'angoisse et la colère le cèdent lentement au désespoir, une terrible vérité se fait jour. Il ne s'agit plus de sortir. Il s'agit de survivre. Ensemble. Le plus longtemps possible. Parce qu'il n'y a peut-être rien d'autre à faire. 

Mon avis : 
J'aime les histoires de séquestration et en voici une nouvelle, un huis clos dans une espèce de bunker. 
La forme est originale puisque nous lisons le journal écrit par Linus 16 ans. Il n'est pas tout seul dans ce bunker et nous découvrons peu à peu comment la vie s'y organise. 

Linus nous décrit les bons côtés des personnages mais aussi les moins bons, jusqu'où certains sont près à aller pour survivre et s'échapper.

Certains passages font froid dans le dos et je l'ai lu très rapidement car je voulais savoir qui allait s'en sortir et comment...

C'est horrible mais c'est bien fait !

Roman emprunté à la

 

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28 août 2019 3 28 /08 /août /2019 18:22

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Quatrième de couverture :
En commençant son internat de médecine à Brest, Marie-Lou est très vite happée par le tumulte de l'hôpital. Un concentré d'humanité où les rencontres, les émotions, les disparitions aussi, font grandir, 
mûrir. Plus qu'un apprentissage, c'est une prise de conscience, sur soi et sur le monde. C'est là que bat le coeur de la vie. 
Côté sentimental, les choses ne sont pas moins compliquées... 
Comment retenir l'instable et insaisissable Matthieu dans ses filets ? Lui qui a dû mettre la médecine entre parenthèses pour retrouver son père disparu... 
On retrouve l'énergie et la fraîcheur de l'auteur des Yeux couleur de pluie et de Entre mes doigts coule le sable dans ce roman du quotidien mouvementé de Marie-Lou et Matthieu. Un chassé-croisé amoureux 
sans répit, un portrait sans fard du monde hospitalier, des histoires d'amitié, beaucoup de résilience pour une vraie surprise.

Mon avis : 
C'est la curiosité qui m'a fait emprunter ce troisième volume pour retrouver Marie-Lou et Matthieu après Les yeux couleur de pluie (ici) et Entre mes doigts coule le sable (ici). Je ne voulais pas l'acheter car le deuxième ne m'avait que moyennement emballée.

Cela ne m'a pas empêchée de le dévorer en un samedi après-midi dans ma chaise longue... Il faut dire que cela se lit vraiment facilement et rapidement, pourtant c'est un peu toujours pareil... et pourtant j'aime bien quand même, c'est plein de bon sentiments, de passages qui font sourire, d'autres qui serrent le cœur. 

Cette série étant finie je voudrais bien lire autre chose de cet auteur (mais pas en trois volumes...).

 

Roman emprunté à la

 

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25 août 2019 7 25 /08 /août /2019 18:08

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Quatrième de couverture : 
Et soudain l'humanité se mit à régresser .
À Richards Bay, en Afrique du Sud, c'est le choc. Un homme s'est métamorphosé. Il arbore des mâchoires proéminentes, est couvert de poils, ne parle plus. 
Bientôt, à New York, Paris, Genève, des Homo erectus apparaissent en meutes, déboussolés, imprévisibles, semant la panique dans la population. 
De quel virus s'agit-il ? Que se cache-t-il derrière cette terrifiante épidémie ? 
Une scientifique française, Anna Meunier, se lance dans une course contre la montre pour comprendre et freiner cette régression de l'humanité. 
Partout, la question se pose, vertigineuse : les erectus sont-ils encore des hommes ? Faut-il les considérer comme des ancêtres à protéger ou des bêtes sauvages à éliminer ? 
Un cauchemar planétaire

Mon avis : 
Pour tout vous dire j'ai acheté ce livre pour mon mari après une rencontre avec l'auteur au festival "Rue des livres" à Rennes en mars dernier. Dans sa dédicace il me suggérait de le lire aussi ;-) J'avais un peu peur du côté scientifique d'autant plus que l'auteur est quand même docteur ès Sciences.
L'auteur nous avait assuré que c'était vraiment abordable et c'est exact. 

Je ne suis pas particulièrement attirée par les sujets sur la préhistoire mais ici c'est un mélange entre notre époque et la régression des espèces qui s'y produit :  la faune, la flore et même les humains sont concernés.

Ce roman nous emmène dans différentes parties du monde à la recherche du point zéro, épidémie ? mystère de la nature ? 

Tout ceci est mené tambour battant et je ne me suis pas ennuyée un instant.

 

Livre de ma 

 

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