19 décembre 2016 1 19 /12 /décembre /2016 18:13

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Quatrième de couverture :
Orphelin originaire de Birmanie, Tin Win est un garçon hors du commun : il est capable de déchiffrer l'âme des gens en écoutant leurs battements de coeur. Grâce à ce don, il va connaître un amour immense, contrarié par bien des obstacles.
C'est cette histoire fabuleuse que va découvrir, des années plus tard, sa fille Julia, jeune avocate à New York. Déterminée à percer le mystère qui entoure le passé de son père, Julia retourne en Birmanie dans le village où il a grandi et pénètre dans un univers dont elle ne soupçonnait pas la richesse.
Une histoire d'amour exceptionnelle, empreinte de spiritualité orientale et digne d'un conte de fées.

 

 

 

 

Mon avis : 
Un très joli coup de cœur pour ce roman, encore meilleur puisqu'il est arrivé petit à petit au fil de ma lecture. Si j'avais pu je serais même restée à la maison un matin pour le finir au lieu d'aller travailler...

Julia part en Birmanie à la recherche de son père reparti dans son pays d'origine. Elle va découvrir la jeunesse de celui-ci et toute une part de sa vie qu'elle était très loin d'imaginer.

Le lecteur va donc accompagner Julia dans la découverte de la vie de Tin Win, de sa jeunesse à l'âge adulte tout en espérant avoir des réponses aux questions qu'elle se pose.

Cette histoire est magnifique, la vie de Tin Win est hors du commun, c'est aussi l'histoire d'un amour infini, les personnages sont très touchants, très vrais et émouvants.

J'ai été profondément touchée par ce roman et c'est suffisamment rare pour le souligner.

A lire, à offrir et à déguster ! 

Livre du club de lecture
avec mes copines

 

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15 décembre 2016 4 15 /12 /décembre /2016 18:13

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Quatrième de couverture :
"Au temps d'avant, avant tout ça, avant ce que je vais raconter et le reste, c'était le bonheur, la vie sans se l'expliquer. Si l'on me demandait "Comment ça va ?" je répondais toujours "Ça va !". Du tac au tac. Le bonheur, ça t'évite de réfléchir. C'est par la suite que je me suis mis à considérer la question. À esquiver, à opiner vaguement du chef. D'ailleurs, tout le pays s'y était mis. Les gens ne répondaient plus que par "Ça va un peu". Parce que la vie ne pouvait plus aller complètement bien après tout ce qui nous était arrivé."

Avant, Gabriel faisait les quatre cents coups avec ses copains dans leur coin de paradis. Et puis l'harmonie familiale s'est disloquée en même temps que son «petit pays», le Burundi, ce bout d'Afrique centrale brutalement malmené par l'Histoire.

Plus tard, Gabriel fait revivre un monde à jamais perdu. Les battements de coeur et les souffles coupés, les pensées profondes et les rires déployés, le parfum de citronnelle, les termites les jours d'orage, les jacarandas en fleur... L'enfance, son infinie douceur, ses douleurs qui ne nous quittent jamais.

Mon avis : 
Qu'il est difficile de donner son avis sur un livre qui est encensé partout...
Je m'attendais à être touchée par ce roman mais l'écriture de l'auteur a fait que je suis restée un peu hermétique à l'histoire. Je n'ai pas été réellement émue par ce que je lisais.

J'ai quand même été attendrie par la vie de Gaby et ses copains, leur vie insouciante.
En revanche, c'est la partie sur la guerre à laquelle je n'ai pas trop accroché. Je ne sais pas si cela vient de l'écriture mais je n'ai pas été tellement touchée par cette partie du texte.

Après cette presque déception, j'ai eu une sacrée surprise durant les dernières pages, c'est l'homme adulte qui parle et non le petit Gaby de l'histoire. Ces pages sont écrites avec les tripes et cela se sent, c'est magnifique et poignant. 

J'ai maintenant bien envie de découvrir la version audio lue par l'auteur.  Peut-être cette version me fera-t-elle changer d'avis.

Livre issue de ma PAL-Cadeau

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11 décembre 2016 7 11 /12 /décembre /2016 13:24

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Résumé :
France, 1996. Après le braquage du Crédit Agricole de Clermont-l'Abbaye, Ferrant et ses complices, Romu, Cassidy et José, se cachent dans la vieille ferme de son oncle.
Jacky, son cousin, éleveur bovin, tente de dissimuler ses bêtes atteintes de la maladie de la vache folle.
Les malfrats sont alors confrontés à la présence croissante de gendarmes luttant contre l'épidémie.

Mon avis : 
Après un casse, l'équipe de Ferrant se met au vert dans la ferme familiale.

Il y a un peu des tontons flingueurs dans cette BD, c'est un peu loufoque ce dont je ne raffole pas en général.

C'est aussi un peu vulgaire et un peu drôle. Il y a des armes, des vaches, de l'amour, des billets, du sexe, des taureaux, de la rancune et une fin un peu.... bof.

Un avis mitigé mais j'ai quand même souri à plusieurs reprises.

 

BD issue de ma 

 

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6 décembre 2016 2 06 /12 /décembre /2016 18:14

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Quatrième de couverture :
Ils forment un duo, maintenant, le parrain et le filleul. Vingt-cinq ans d'écart. Presque aucun goût en commun mais un lien qui s'établit dans les habitudes qui se créent, à deux - la familiarité de l'autre corps, de son odeur, de la place qu'il prend. On les prend souvent pour père et fils. Yvan refuse la paternité d'un air bourru, mais on sent qu'au fond, ça le touche.

Juin 2013, en province. Comme chaque été, Corentin retrouve, au côté de son parrain, Yvan, son emploi saisonnier de vidéaste de mariage. Chargé d'accompagner les couples des premières heures de la journée la plus importante de leur vie jusqu'au matin suivant, il recueille leurs espoirs et leurs désillusions, leurs joies et leurs détresses, parfois. Mais à vingt-sept ans, il est temps de faire des choix, amoureux tout autant que professionnels. Corentin a devant lui cinq mariages et aucun enterrement pour trouver sa voie.

Analyse des sentiments, amertume et plaisir, empathie pour les personnages... On retrouve dans Mariages de saison tout ce qui fait le charme des romans de Jean-Philippe Blondel.

Mon avis : 
Yvan et Corentin sont deux personnes importantes lors d'un mariage, l'un prend des photos et l'autre filme. C'est important pour les souvenirs, pour nos enfants et pourtant on ne les regarde plus qu'occasionnellement et encore... après 10, 20 ou 30 ans pour ceux qui tiennent jusque là.

Aline et Christophe, Laurent et Laurence, Fanny et Lise, Anne et Luc, Angélique et Sébastien font partie des ces mariés de l'été 2013 de Corentin.

Le mariage et parfois leur souhait, parfois surtout celui de leurs parents ou même de leurs enfants.

Corentin, le vidéaste, se cherche, professionnellement et sentimentalement, il faut dire que ce n'est pas facile de garder une copine quand on est pris tous les week-ends par des mariages.

Corentin crée souvent un lien privilégié avec les mariés les filmant parfois à l'insu du conjoint.

Parallèlement aux différents mariages, Corentin filme des personnes qui ont compté dans sa vie, des amis, de la famille, et qui lui parlent face à la caméra. Il aura d'ailleurs certaines surprises.

Les chapitres sont assez courts et s'enchaînent bien.

Ce que j'aime chez cet auteur c'est qu'il décrit des personnages qui paraissent tout de suite très réels, des situations qu'on imagine sans peine.
Les relations décrites sont touchantes et l'écriture de Jean-Philippe reflète une vraie sensibilité et une grande tendresse pour ses personnages.

Vivement le prochain roman de cet auteur ! 

 

Livre emprunté à la

 

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2 décembre 2016 5 02 /12 /décembre /2016 18:58

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Quatrième de couverture :
William avait l'habitude de prendre des photos. Il a donc emporté son appareil quand il est parti à la recherche de son frère disparu à Miami. Avec l'intention de raconter cette histoire sous forme de récit photographique.
Une enquête à travers Little Havana et Key Biscayne. Du petit banditisme à l'extrême-droite cubano-américaine jusqu'au vaudou haïtien.
William a saisi un tas de clichés. Il les a triés et catalogués. En recadrant certains ou agrandissant des détails. Pour découvrir toujours pire.
Toutes les photos étaient là. Mais elles ont disparu. Plus aucune trace nulle part.

Shots est un album dont il ne reste que les légendes. Des dates, des lieux, des noms. Qui racontent des disparitions out of nowhere et des déflagrations out of the blue. Un saccage.

 

Mon avis : 
Je n'avais jamais lu de roman-photo et encore moins un roman-photo sans les photos. L'emplacement des photos est matérialisé à chaque page mais c'est le texte de l'auteur qui va permettre au lecteur de les imaginer.

Ce procédé est vraiment très original, certaines photos sont plus faciles à imaginer que d'autres mais globalement le procédé fonctionne bien.

L'auteur y ajoute un zeste de suspense, un zeste de cervelle éclatée, un (gros) zeste de voyage, un zeste de vaudou et voici donc un roman rondement mené.

J'ai bien aimé mais au fil du roman je me suis moins attachée à imaginer les photos en me concentrant essentiellement sur le texte. 
Cela reste quand même une belle performance.

L'avis de Manika

De cet auteur j'ai déjà aimé Baignade surveillée et Je mourrai pas gibier

 

Livre emprunté à la

dans le cadre du prix Cezam 2017
 

?mode=activites_culturelles&id=6441

 

 

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1 décembre 2016 4 01 /12 /décembre /2016 13:37

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Quatrième de couverture :
A 17 ans, Valérie est sur le point d'accomplir un de ses rêves les plus chers : terminer en bonne placer pour le marathon de Buenos Aires. Mais faire le vide n'est pas si simple. Au gré des kilomètres qu'elle engloutit, la jeune fille passe et repasse le film de ces dernières années... Elle pense à sa mère, dont elle fait la fierté, à son père, qu'elle n'a jamais connu, à son entraîneur, qui la pousse toujours à se dépasser, et à Dimitri, qui ne la regarde pas vraiment...

Mon avis : 
Valérie alias "La gazelle" est une jeune marathonienne et j'ai couru ce marathon avec elle (le seul de ma vie sans aucun doute).
On la suit dans ses pensées qui s'évadent comme quand on marche ou quand on fait du ménage par exemple, des tâches qui ne demandent pas de réflexion.

On découvre un peu de sa vie avec sa mère, celle-ci qui est malade, son entraîneur (aux mains balladeuses...), les autres filles de la course, Dimitri...

Au fil des kilomètres on sent qu'elle en a marre, qu'elle voudrait bien s'évader de cette vie, un peu comme une Albanaise lors de sa demande d'asile politique lors d'une course.

Une lecture fluide et agréable un peu comme La gazelle qui se répète inlassablement "Courir, dérouler, galoper" .

 

Livre emprunté à la

 

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 19:09

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Résumé :
Quand Louise annonce la naissance prochaine de sa fille à sa mère, recluse dans la chambre d’hôpital où elle se meurt, Alice est catégorique : une petite fille ne peut pas être enceinte.
Se dessinent alors deux chemins de femmes, peut-être inconciliables : celui d’une mère devenue une vieille petite fille, et d’une petite fille devenant mère…
Un remarquable roman, sans cesse en équilibre entre tragédie personnelle et comédie mondaine…

Marielle Ostrowski parvient avec beaucoup de talent à restituer le « ton » de Justine Lévy, entre émotion et défi salutaire à toute mièvrerie.

Mon avis :
Ce que j'ai préféré dans ce livre c'est sa lectrice, elle est vraiment formidable.

Petite anecdote d'écoute : Un passage de ce live m'a fait réagir, j'avais déjà entendu ça ! Après vérification, oui, j'avais déjà écouté ce livre audio.. en 2014, mais je ne retrouve pas mon avis, je n'avais peut-être pas fait de billet...

C'est un livre assez triste, Louise raconte sa vie entre sa mère malade et son propre devenir de mère. C'est triste parce que sa mère est en fin de vie et parce qu'on ne sent pas Louise très joyeuse d'être enceinte. C'est pourtant tellement merveilleux !

Cette histoire oscille entre regrets et espoir.

Pas gai mais superbement bien lu.

L'avis de Gambadou

 

Livre emprunté à la

 

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26 novembre 2016 6 26 /11 /novembre /2016 11:17

Je suis allée hier soir à la présentation des titres du prix Cezam 2017, ce prix comporte trois sélections : Romans, BD et DVD

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C'était un moment très sympa organisé par les bibliothécaires de la Bibliothèque Municipale d'Angers. Des personnes motivées et passionnées.

Un bibliothécaire a commencé par nous présenter toutes les BD, sans "trop" nous influencer et en conseillant certains titres pour ceux qui ne sont pas habitués à lire des BD.  Je suis repartie avec "Ce qu'il faut de terre à l'homme" de Martin Veyron.

   

   

 

Puis ils ont tous présentés un ou deux romans de la sélection, certains me font très envie, d'autres moins et j'en ai déjà un en cours ("Un bon garçon" de Paul McVeigh)  et un en attente ("Shots" le dernier Guillaume Guéraud !)

   
   

 

 

Nous avons ensuite visionné les sept bandes-annonces et j'ai déjà emprunté "A peine j'ouvre les yeux" l'histoire d'une jeune tunisienne qui chante dans un groupe de rock.

    

    

J'y suis allée avec un ami (nos conjoints respectifs ne voulaient pas venir) et comme l'année dernière nous allons nous prêter les BD et les DVD car ceux-ci ne sont pas toujours très disponibles lors de nos passages en bibliothèque, je vais en aussi faire des réservations via le site internet.

Encore une fois j'espère faire de belles découvertes.

 

 

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25 novembre 2016 5 25 /11 /novembre /2016 14:00

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Quatrième de couverture : (censurée par mes soins)
La nouvelle chef de la police du Yorkshire ayant placé la sécurité des campagnes au sommet de ses priorités, Alan Banks et les flics de la Criminelle sont sommés d'élucider au plus vite un simple vol de tracteur !

Mais cette affaire banale en cache peut-être une autre. Alors que deux garçons d'un village voisin sont portés disparus, un promeneur découvre non loin de là une flaque de sang suspecte dans un hangar désaffecté.

(...) aux macabres révélations... l'enquête de routine bascule brutalement dans une dangereuse course contre la montre, contre la mort.

Mon avis : 
Je n'avais pas lu la quatrième de couverture et d'ailleurs je l'ai censurée, ben oui j'ai le droit je suis chez moi ;-) Elle en disait un peu trop.

Je ne connaissais pas du tout cet auteur et même si j'ai plutôt apprécié cette lecture je ne pense pas que je lirai un autre roman de Peter Robinson.

Âmes sensibles s'abstenir car quelques descriptions sont un peu ... sanglantes.

Les plus :
J'ai aimé les personnages, enfin pas tous, en fait j'ai surtout aimé un jeune couple assez attachant et Terry Gilchrist le promeneur qui fait une découverte dans un vieux hangar. Certains flics sont également sympathiques.

L'écriture qui est agréable et l'ambiance de cette enquête.

Les moins:
Trop de monde dans cette équipe d'enquêteurs et même en ayant à peu près noté leurs noms je me suis un peu embrouillée.

Il faut attendre les deux tiers du livre pour que cela s'accélère un peu.

L'auteur qui n'a pas réussi à accrocher ma co-lectrice, celle-ci m'a abandonnée page 295 (sur 441).
Bon, elle voulait quand même savoir la fin et dans ma grande gentillesse je l'ai tenue au courant de l'avancée des recherches. Nous avons échangé de nombreux mails au sujet de ce livre mais aussi sur les élections de la primaire, sur une BD, sur le billet d'une blogueuse, bref du papotage de blogueuse/lectrice quoi !

Conclusion :
Je n'en garderai pas un mauvais souvenir car j'ai bien aimé, il m'a quand même manqué un zeste de rythme.
C'est toujours aussi sympa d'échanger pendant la lecture d'un même livre.

 

Merci aux Editions Albin Michel

Lecture commune avec Canel

 

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22 novembre 2016 2 22 /11 /novembre /2016 18:23

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Quatrième de couverture : 
Depuis quarante jours, la Laponie est plongée dans la nuit.
Dans l'obscurité, les éleveurs de rennes ont perdu un des leurs. Mattis a été tué, ses oreilles tranchées - le marquage traditionnel des bêtes de la région.
Non loin de là, un tambour de chaman a été dérobé. Seul Mattis connaissait son histoire. Les Lapons se déchirent : malédiction ancestrale ou meurtrier dans la communauté ?

 

Mon avis : 
Me voici revenue d'un beau voyage mais un peu frisquet. Par moment il faisait moins froid, "un léger moins vingt".

J'ai beaucoup aimé découvrir la vie en Laponie, le dur métier d'éleveur de rennes.

Le rythme de ce livre est plutôt lent mais cela ne m'a pas dérangée, j'étais plongée dans un autre monde et l'enquête était menée à un rythme plutôt tranquille.

En revanche le livre est quand même un peu long (570 pages en poche) et je l'aurais encore plus apprécié s'il avait pu être plus court d'un quart. Le rythme étant lent la fin m'a vraiment parue longue alors que c'est à ce moment là que le lecteur trouve les réponses à de nombreuses questions, c'est dommage.

Je fais une pause avant de lire Le détroit du loup qui m'attend.

 

Livre du club de lecture
avec mes copines


 

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