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Quatrième de couverture :
« À la fin de décembre 1999, une surprenante série d’événements tragiques s’abattit sur Beauval, au premier rang desquels, bien sûr, la disparition du petit Rémi Desmedt.
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Quatrième de couverture :
« À la fin de décembre 1999, une surprenante série d’événements tragiques s’abattit sur Beauval, au premier rang desquels, bien sûr, la disparition du petit Rémi Desmedt.
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Quatrième de couverture :
Elle a oublié l'odeur des planches.
Cette odeur si indissociable de sa vie d'avant, quand elle était encore comédienne, elle, la fille d'immigrés algériens qui avait réussi à conquérir le devant de la scène. Passer de l'ombre à la lumière.
Mais, la quarantaine venue, comme tant d'autres en fin de droits, la voilà réduite à faire des ménages. Revient alors la mémoire de sa mère. Comme elle, elle n'est plus qu'une servante, une de ces femmes invisibles dont on oublie le nom, qu'on ne reconnaît pas dans la rue. Pourtant, au théâtre, la servante est le nom qu'on donne à la petite ampoule qui reste allumée sur le plateau quand tout le monde est parti.
Mon avis :
Ce livre n'était pas fait pour moi, je ne me suis pas du tout attachée à ce que l'auteur nous raconte de sa vie.
Je n'ai pas trouvé ce récit très vivant ni très approfondi. Je suis sûre que je l'aurais préféré sous forme de roman, je ne suis pas très branchée par les récits autobiographiques.
L'auteur alterne les chapitres sur son enfance, sa mère, sa vie de famille et les chapitres sur sa vie d'adulte en tant que comédienne puis femme de ménage.
J'avais dû lire un avis positif quelque part pour noter ce titre ....
Livre emprunté à la
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Quatrième de couverture :
Marie se sent perdue. Son mari, ses enfants sont le dernier fil qui la relie à la vie.
Ce fragile équilibre est bouleversé le jour où elle rencontre les "Kosovars ", ces réfugiés dont nul ne se soucie et qui errent, abandonnés, aux confins de la ville.
Négligeant sa famille, Marie décide de leur porter secours. Et de tout leur donner : nourriture, vêtements, temps, argent, elle ne garde rien pour elle. Entraînée par une force irrésistible, elle s'expose à tous les dangers, y compris celui d'y laisser sa peau.
Avec ce roman, Olivier Adam nous rappelle que la violence qui frappe les plus faibles est l'affaire de chacun. Et trace le portrait inoubliable d'une femme dépassée par la force de ses sentiments.
Mon avis :
Curieuse coïncidence : j'ai lu ce livre au moment de l'actualité brûlante à Calais sur les riverains qui manifestaient à propos de la présence des réfugiés à leur porte.
L'histoire de Marie est triste et sombre, c'est une femme fragile psychologiquement. Je n'ai pas adhéré du tout à son comportement notamment envers ses enfants qu'elle abandonne presque. Elle leur transmet sa souffrance et n'est plus en état de les protéger. Cela m'a dérangée.
En revanche le sort des migrants m'a touchée et on se demande comment ils vont tous sortir de cette impasse.
L'ambiance de ce livre est morose, il n'y a pas de lumière au bout du tunnel. C'est vraiment plombant et heureusement qu'il n'est pas très long et qu'il se lit assez vite.
J'aime toujours l'écriture d'Olivier Adam mais pas tous les sujets qu'il aborde et surtout j'avais envie de plus de légèreté.
Livre emprunté à la
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Résumé :
Mon avis :
19 h d'écoute !!!!!!! et je sais maintenant qu'il ne faut pas que je commence un livre audio aussi long durant l'été. Je n'ai pas le même rythme d'écoute, le même rythme de vie et j'ai vraiment écouté ce roman en pointillé donc..... j'ai mis un peu plus de deux mois à en venir à bout !!!!!
Cette durée a nui à mon intérêt pour l'enquête, j'avoue que petit à petit j'en ai vraiment perdu le fil au fur et à mesure des différentes pistes.
En revanche j'étais ravie de retrouver Cormoran et Robin ainsi que le lecteur qui est vraiment très bon.
J'ai hâte de retrouver la suite de leurs aventures car le livre se termine sur un gros point d'interrogation ! Vivement le prochain volume.
De cet auteur j'ai déjà aimé L'appel du coucou et Le ver à soie.
L'avis de Sylire
Livre prêté par une copine
Chez Sylire
Chez Sylire
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Quatrième de couverture : (un peu trop bavarde...)
Ce roman retrace la vie de Charlotte Salomon, artiste peintre morte à vingt-six ans alors qu'elle était enceinte.
Après une enfance à Berlin marquée par une tragédie familiale, Charlotte est exclue progressivement par les nazis de toutes les sphères de la société allemande. Elle vit une passion amoureuse fondatrice, avant de devoir tout quitter pour se réfugier en France.
Exilée, elle entreprend la composition d'une oeuvre picturale autobiographique d'une modernité fascinante. Se sachant en danger, elle confie ses dessins à son médecin en lui disant : « C'est toute ma vie. »
Portrait saisissant d'une femme exceptionnelle, évocation d'un destin tragique, Charlotte est aussi le récit d'une quête. Celle d'un écrivain hanté par une artiste, et qui part à sa recherche.
Mon avis :
La quatrième de couverture en dit un peu trop sur l'histoire de Charlotte Salomon. En commençant ce livre je savais simplement qu'elle était peintre et c'était très bien ainsi.
C'est à la deuxième tentative que je suis allée au bout de ce livre, lors de sa sortie je n'avais pas accroché et je l'avais abandonné. Comme quoi il ne faut pas forcément rester sur un échec.
J'ai très bien ressenti l'attachement de l'auteur pour son héroïne, et dans son livre, tout en étant romancé, il intervient en parlant des recherches qu'il a faites sur cette artiste.
Je n'avais jamais entendu parler de Charlotte avant ce roman et je suis bien sûr allée voir ses œuvres après avoir terminé ce livre.
La vie de Charlotte n'est pas rose, la guerre, les antécédents familiaux sont un véritable poids pour elle. L'auteur la rend attachante.
Je suis contente d'avoir retenté cette lecture.
Livre issu de ma
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Quatrième de couverture :
Jamais Cecilia n'aurait dû trouver cette lettre dans le grenier. Sur l'enveloppe jaunie, quelques mots de la main de son mari : «À n'ouvrir qu'après ma mort.» Quelle décision prendre ? Respecter le voeu de John-Paul, qui est bien vivant ? Ou céder à la curiosité au risque de voir basculer sa vie ?
Tous les maris - et toutes les femmes - ont leurs secrets. Certains peuvent être dévastateurs.
Best-seller aux États-Unis, ce roman, intense, pétillant et plein d'humanité, allie habilement suspense et émotion pour marquer son lecteur d'une empreinte durable.
Mon avis :
Le côté très américain de certains romans me gêne un peu parfois. Cela a été le cas avec celui-ci et pourtant je l'ai aimé.
Les personnages sont tous bien étudiés, on s'y retrouve avec les problèmes d'enfants, d'ado, de couple. C'est la vie tout simplement.
Pas si simplement que ça quand même puisqu'il y a ce fameux secret du mari dont toute l'histoire va découler. Et ce n'est pas rien...
Une écriture fluide et facile à lire ce qui ne gâche rien.
Je retrouvais mon livre avec plaisir et c'est déjà bon signe.
Mon billet ne déborde pas d'enthousiasme mais c'est tout à fait ça, j'ai bien aimé et c'est tout.
Livre issu de ma
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Quatrième de couverture :
Auvers-sur-Oise, été 1890. Marguerite Gachet est une jeune fille qui étouffe dans le carcan imposé aux femmes de cette fin de siècle. Elle sera le dernier amour de Van Gogh. Leur rencontre va bouleverser définitivement leurs vies.
Jean-Michel Guenassia nous révèle une version stupéfiante de ces derniers jours.
Et si le docteur Gachet n'avait pas été l'ami fidèle des impressionnistes mais plutôt un opportuniste cupide et vaniteux ? Et si sa fille avait été une personne trop passionnée et trop amoureuse ? Et si Van Gogh ne s'était pas suicidé ? Et si une partie de ses toiles exposées à Orsay étaient des faux ? ...
Autant de questions troublantes que Jean-Michel Guenassia aborde au regard des plus récentes découvertes sur la vie de l'artiste. Il trouve des réponses insoupçonnées, qu'il nous transmet avec la puissance romanesque et la vérité documentaire qu'on lui connaît depuis Le Club des incorrigibles optimistes.
Mon avis :
Grosse déception pour ce livre que j'ai choisi d'après le nom de son auteur. J'avais beaucoup aimé La vie rêvée d'Ernesto G. et j'étais même à la limite du coup de cœur.
Ici c'est tout le contraire car j'ai vraiment peiné à le terminer.
Tout est long, lent et sans beaucoup de surprise si ce n'est le parti pris de l'auteur de nous raconter la mort de Van Gogh d'une façon différente.
J'ai bien aimé la description des toiles du peintre qui est vraiment très réaliste.
J'ai bien aimé les petits intermèdes d'actualités de l'époque ou les extraits des lettres de Vincent Van Gogh à son frère.
Pour le reste je n'ai pas accroché, il m'a manqué un certain rythme dans cette histoire même si j'ai retrouvé une écriture que j'aime.
J'en attendais trop... sûrement.
Merci aux Editions Albin Michel
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Quatrième de couverture :
Quand Julia débarque comme psychologue à la maison de retraite Les Tamaris, elle ne croit pas plus au bonheur qu'à la petite souris. Pire, une fois sur place, elle se souvient qu'elle ne déborde pas d'affection pour les personnes âgées. Et dire qu'elle a tout plaqué pour se sauver, dans tous les sens du terme.
Au fil des jours, Julia découvre que les pensionnaires ont bien des choses à lui apprendre. Difficile pourtant d'imaginer qu'on puisse reprendre goût à la vie entre des papys farceurs, des mamies fantaisistes et des collègues au coeur brisé... Et si elle n'avait pas atterri là par hasard ? Et si l'amour se cachait où on ne l'attend pas ?
C'est l'histoire de chemins qui se croisent. Les chemins de ceux qui ont une vie à raconter et de ceux qui ont une vie à construire.
C'est une histoire d'amour(s), une histoire de résilience, une ode au bonheur.
Mon avis :
J'avais très envie de lire ce livre car il se passe dans une maison de retraite, elle est toute petite (21 résidents) par rapport à celle dans laquelle je travaille (un peu plus de 400 résidents).
Comme d'habitude j'aime les livres qui parlent des personnes âgés, c'est un public qui me touche particulièrement.
Ici j'ai souvent eu le sourire aux lèvres, j'ai même ri, mais j'ai aussi eu le cœur serré.
Sous des allures d'histoire plutôt légère on découvre au détour des lignes des phrases très profondes sur la vie, sa durée, la vieillesse, l'amour...
Les personnages sont tous chouette même Léon le grincheux.
Je me suis régalée, dommage qu'il se lise aussi vite.
Mon seul bémol sera la surprise qui arrive à la fin du livre... elle ne m'a pas trop convaincue.
Une plume très agréable pour Virginie Grimaldi que j'avais découverte avec Le premier jour du reste de ma vie.
Livre prêté par une
de mes collègues
Merci Marion !
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Quatrième de couverture :
Yaël ne vit que pour son travail. Brillante interprète pour une agence de renom, elle enchaîne les réunions et les dîners d'affaires sans jamais se laisser le temps de respirer. Les vacances, très peu pour elle, l'adrénaline est son moteur.
Juchée sur ses éternels escarpins, elle est crainte de ses collègues, et ne voit quasiment jamais sa famille et ses amis qui s'inquiètent de son attitude.
Peu lui importe les reproches qu'on lui adresse, elle a simplement l'impression d'avoir fait un autre choix, animée d'une volonté farouche de réussir.
Mais le monde qu'elle s'est créé pourrait vaciller face aux fantômes du passé.
Mon avis :
Je ne pensais pas particulièrement lire ce livre si tôt et puis... je l'ai offert à ma sœur et puis... elle l'a adoré et sa fille aussi et puis... je l'ai acheté pour moi !
Et j'ai bien fait car j'ai retrouvé la plume de l'auteur avec grand plaisir.
Yaël est carriériste à outrance, elle n'a que le travail dans sa vie mais elle est (se croit) heureuse ainsi.
Yaël est aussi touchante qu'énervante. On a envie de l'aider mais aussi de lui faire regarder la vérité en face. Et quand on croit qu'elle est sur la bonne voie... les habitudes reviennent au galop.
Un roman rythmé avec des personnages sympathiques, des relations amicales sincères, mouvementées et profondes.
Amitié, amour, humour parfois, un très bon roman que j'ai dévoré en un week-end à peine (bon en fait je l'ai acheté le samedi après-midi et terminé le dimanche soir...).
Sans aucun doute je lirai le prochain roman d'Agnès Martin-Lugand.
Livre issu de ma
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Quatrième de couverture :
Marie a tout préparé pour l'anniversaire de son mari : décoration de l'appartement, gâteaux, invités...
Tout, y compris une surprise : à quarante ans, elle a décidé de le quitter. Marie a pris «un aller simple pour ailleurs».
Pour elle, c'est maintenant que tout commence. Vivre, enfin. Elle a donc réservé un billet sur un bateau de croisière pour faire le tour du monde.
À bord, Marie rencontre deux femmes qui, elles aussi, sont à la croisée des chemins. Au fil de leurs aventures, parfois déjantées, elles pleurent et rient ensemble, à la reconquête du bonheur. Leurs vies à toutes les trois vont être transformées par cet étonnant voyage.
Mon avis :
Dès le début j'ai eu un doute sur ce roman, je me demandais si j'allais l'aimer car il me rappelait un roman déjà lu dont je ne me souviens plus du titre, ce n'est peut-être qu'une impression.
La quatrième de couverture résume parfaitement le roman et j'ai passé un très bon moment.
C'est une lecture plutôt légère mais pas en permanence. Certains passages sont également émouvants.
Marie, Anne et Camille sont très différentes mais des liens solides se tissent entre elles assez rapidement. Je me suis laissée embarquer à bord de ce navire de croisière et je ne le regrette pas. Cela donnerait presqu'envie de tout lâcher pendant un certain temps pour se ressourcer ainsi !
Si vous le croisez au détour d'une librairie ou d'une bibliothèque, n'hésitez pas !
Livre issu de ma
La grande escapade
de Jean-Philippe Blondel
Blanc mortel
de Robert Galbraith (livre audio)
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Les pages de lecture de Sandrine
Romans
Mamie Luger
de Benoît Philippon
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de Ito Ogawa
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