26 novembre 2013
2
26
/11
/novembre
/2013
23:06
|
Tess croyait avoir trouvé le mari idéal en la personne de Jim Beckett, un policier jouissant d'une excellente réputation dans la petite ville de Williamstown, Massachusetts.
Mais deux ans après le mariage, elle découvre l'horreur : son époux a assassiné, dans des circonstances effroyables, plusieurs femmes. Tess n'a d'autre choix que de le dénoncer à la justice.
En attendant d'être jugé, Jim est placé dans un quartier de haute sécurité. Le jour où, tuant deux gardiens, il parvient à s'évader, il n'a plus qu'une idée en tête : retrouver celle qui l'a trahi.
|
Et lui rappeler qu'ils sont unis, quoi qu'il arrive, jusqu'à ce que la mort les sépare...
Vraiment trop long à démarrer, pourtant les romans de cet auteur sont en général assez rythmés. Ce n'est donc pas le cas de celui-ci, j'ai du en lire une petite centaine de pages et encore ....
|
Avoir... Comme avoir 22 ans.
Être... Comme être sans attaches.
Prendre... Comme prendre une décision.
Tailler... Comme tailler la route.
Rester... Comme rester vivant.
|
Je pense que je ne devais pas être dans le bon état d'esprit quand j'ai commencé ce livre, je n'ai pas accroché du tout à ce voyage qu'entreprend l'auteur. Il part avec deux amis suite au décès de son père, il avait déjà perdu sa mère et son frère dans des circonstances similaires.
Je crois que je préfère cet auteur quand il écrit des fictions.
|
« Petite Boîte d’Os » est la fille du pasteur d’une communauté vivant sur les bords d’un lac nordique. Elle grandit dans les senteurs d’algues et d’herbe séchée, et devient une adolescente romantique aux côtés de son amie Blanche. Elle découvre l’amour avec le vieux Joseph, revenu au pays après le « Déluge », enveloppé d’une légende troublante qui le fait passer pour cannibale.
Dans ce monde à la beauté trompeuse, se profile le spectre d’un passé enfui où vivaient des oiseaux, une espèce aujourd’hui disparue. |
Le lac, d’apparence si paisible, est le domaine où nagent les cochons fluorescents, et au fond duquel repose une forêt de cercueils, dernière demeure des habitants du village.
Une histoire d’amour fou aussi poignante qu’envoûtante, un roman écrit comme un conte, terriblement actuel, qui voit la fi n d’un monde, puisque l’eau monte inexorablement et que la mort rôde autour du lac…
Ce village est vraiment bizarre, avec ses cochons fluorescents, ses morts dans le lac, des ethnologues qui viennent voir ses habitants comme une curiosité et son personnage principal qui s'appelle Petite boîte d'os...
Un petit livre très court mais trop bizarre pour moi, j'ai calé à la moitié, je n'avais plus envie de continuer, je ne voyais pas trop où tout ceci allait me mener.
7/12
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
8 septembre 2013
7
08
/09
/septembre
/2013
22:05
|
Quatrième de couverture :
Boston, 1926. En pleine Prohibition, l’alcool coule à flots dans les speakeasies et Joe, le plus jeune fils du commissaire adjoint Thomas Coughlin, est bien décidé à se faire une place au sein de la pègre. Il commence par braquer un bar clandestin appartenant à un caïd local et, surtout, commet l’erreur de séduire sa maîtresse. La vengeance ne se fait pas attendre et Joe se retrouve derrière les barreaux. C’est là qu’un vieux parrain, Maso Pescatore, se charge de son « éducation » et que la carrière de Joe va prendre son essor.
|
De la Floride à Cuba, Joe fait son chemin, pavé d’embûches, de luttes et de trahisons, parmi ceux qui « vivent la nuit ». Mais au détour du chemin l’attend aussi une grande histoire d’amour.
Michelangelo Marchese met au service de ce roman où la violence et le cynisme côtoient l’espérance indéfectible des « damnés de la terre », une rigueur d’interprétation qui sait également faire place à l’émotion.
Mon avis :
Ce qui m'a le plus marquée dans cette histoire c'est la jeunesse de Joe, le héros, il a toute juste vingt ans au début du livre. Il baigne déjà dans un milieu de truands, de délinquants et pourtant son père est commissaire de police.
J'ai beaucoup aimé la partie durant laquelle Joe est en prison, il est malmené mais au moins il y a de l'action. En revanche, par la suite l'histoire traîne un peu dans de nombreuses tractations entre truands, de discussions, tout ceci était trop bavard pour moi et j'ai lâchement abandonné Joe en cours de route.
Le lecteur a une très bonne voix de truand (grave et rauque), j'ai aussi aimé les petits intermèdes musicaux entre les chapitres avec des musiques d'époque.
En choisissant ce livre je pensais qu'il y aurait plus d'action et de ce fait j'ai été déçue. Je pense que les amateurs du genre et de cette période de la prohibition, aimeront cette histoire plus que je ne l'ai fait.
Pour un écouter un extrait c'est ICI
Merci à Audiolib.
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
1 septembre 2013
7
01
/09
/septembre
/2013
22:05
|
Résumé :
Jenny Fields ne veut pas d’homme dans sa vie mais elle désire un enfant.
Ainsi naît Garp. Il grandit dans un collège où sa mère est infirmière.
Puis ils décident tous deux d’écrire, et Jenny devient une icône du féminisme.
Garp, heureux mari et père, vit pourtant dans la peur : dans son univers dominé par les femmes, la violence des hommes n’est jamais loin…
Un livre culte, à l’imagination débridée, facétieuse satire de notre monde. |
Mon avis :
J'ai aimé l'histoire de Garp jusqu'à .... ses 18 ans. J'ai aimé le récit de sa naissance et sa vie dans un collège avec sa mère, l'histoire me plaisait et je pensais que c'était bien parti.
En revanche, je n'ai pas aimé la suite, Garp part à l'étranger avec sa mère (va-t-il la lâcher !). Mon intérêt s'est émoussé au fil des pages et à leur retour je me suis encore accrochée un peu mais franchement il ne se passe pas grand chose et j'ai abandonné au bout de 200 pages.
Je n'ai malheureusement pas trouvé d'intérêt à cette histoire et j'en suis bien déçue. C'est bien écrit, certes, mais cela ne m'a pas suffi.
Livre emprunté
à la
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
14 août 2012
2
14
/08
/août
/2012
22:05
|
Quatrième de couverture :
Ça s'est passé comme ça. J'ai été volée dans un aéroport. Enlevée à tout ce
que je connaissais, tout ce qui était ma vie. Parachutée dans le sable et la chaleur. Tu me voulais pour longtemps. Et tu voulais que je t'aime. Ceci est mon histoire. Une histoire de
survie. Une lettre de nulle part.
Un thriller psychologique qu'on ne peut ni arrêter, ni
oublier.
|
Mon avis :
Je ne sais pas si c'est parce que j'ai lu récemment des histoires de séquestration que j'ai adorées mais ce livre m'a paru
bien pâlichon. J'ai abandonné au bout d'une centaine de pages car, à mon goût, il ne se passait rien. Rien de bien stressant, beaucoup de parlote sur les états d'âme des personnages. (Vu l'avis
de Mister G. j'aurais peut être du insister un peu ...).
Je n'ai pas du tout réussi à accrocher à cette histoire.
L'avis de Mister G (bientôt 16 ans) : Au début je n'avais pas trop envie de le lire, et pour finir j'ai été
pris dans l'histoire et j'ai beaucoup aimé ce livre.
Les avis de Stephie et Theoma.
Livre emprunté à la
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
28 juin 2012
4
28
/06
/juin
/2012
04:20
|
Quatrième de couverture :
1856. La Compagnie anglaise des Indes orientales décide
de s’emparer d’Awadh, un État indépendant et prospère du nord de l’Inde, et d'exiler son souverain. La population se soulève. A sa tête, Hazrat Mahal, la quatrième épouse du roi, épaulée
par le rajah Jai Lal et des cipayes, soldats indiens de l'armée britannique, ralliés à sa cause. Lucknow, la capitale du royaume, appelée la « ville d'or et d'argent », est le foyer de
cette première guerre nationale. Peu à peu, l'embrasement se généralise. Deux années durant, Hazrat Mahal sera l'âme de cette révolte. Vaste fresque historique sur fond de passion amoureuse
entre la bégum et l'intrépide Jai Lal, Dans la ville d'or et d'argent relate le destin d'une femme héroïque et méconnue, qui, la première, traça la voie de la libération des
Indes.
|
Mon avis :
J'ai beaucoup aimé les 100 premières pages de ce livre. Ce fut un dépaysement complet, un foisonnement de couleurs,
d'odeurs. La vie dans les palais, la découverte des personnages et de cette femme qui devient l'une des épouses du roi. L'écriture est très agréable et la lecture est plaisante.
Ensuite, l'auteur se focalise sur l'histoire politique et historique de l'annexion de l'Etat d'Awadh par les
anglais. C'est cette partie de l'histoire qui me faisait penser que je n'accrocherais pas trop à ce livre. Il est trop question, pour moi, de complot, de tactique, de stratégie, de révolte, de
ruse, de siège, de combat. L'histoire de l'épouse du roi passe trop souvent au second plan et c'est le côté romanesque qui fait que j'aime ce genre de livre, si le côté politique prend le pas
j'ai vraiment du mal à lire. Dommage.
Livre du prix des lecteurs
du Livre de Poche
|
|
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
24 mai 2012
4
24
/05
/mai
/2012
04:20
|
Quatrième de couverture :
Diana Bishop a renoncé depuis longtemps à un héritage familial compliqué, pour privilégier ses recherches
universitaires. Jusqu'au jour où elle emprunte un manuscrit alchimique : l'Ashmole 782. Elle ignore alors qu'elle vient de réveiller un ancien et terrible secret - un secret convoité par de
nombreuses et redoutables créatures. Parmi eux, Matthew Clairmont. Un tueur, lui a-t-on dit. Malgré elle, Diana se retrouve au cœur de la tourmente.
|
Mon avis :
Malgré les 830 pages de ce livre, j'avais bon espoir puisque mon mari l'avait lu avant moi et il avait apprécié cette
lecture.
Pas de bol ! Pour un livre de plus de 800 pages, je pense qu'il faut un certain rythme pour pouvoir tenir aussi
longtemps. Et ici, ce n'est pas le cas, il ne se passe pas grand chose.
Après avoir lu 250 pages et renseignement pris auprès de Mr, je me suis dit que cela allait démarrer, j'avais
déjà passé beaucoup de temps à faire connaissance des personnages et de ce qu'ils mangent !
C'est clairement le manque de rythme qui a fait que j'ai jeté l'éponge après plus de 400 pages. Il m'a vraiment
manqué le petit plus qui aurait fait que je sois vraiment intéressée par l'histoire. Dommage, car j'aimais bien la façon de raconter de l'auteur mais c'était vraiment trop mou pour moi.
Livre du prix des lecteurs
du Livre de Poche
|
Catégorie objet
|
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
17 avril 2012
2
17
/04
/avril
/2012
04:20
|
Quatrième de couverture :
Olive est l’épouse du pharmacien de Crosby, une petite ville
côtière du Maine. Elle a un fils, Christopher, qu’elle étouffe. Et c’est aussi un professeur de mathématiques brutal et tyrannique, capable, pourtant, d’élans de bonté. Personnalité hors
normes, a priori peu aimable, mais ô combien attachante, Olive traverse cette fresque polyphonique où les destins des habitants de Crosby – héros ordinaires – s’entremêlent sur une
période de trente ans .
Salué outre-Atlantique pour la virtuosité de sa construction
et la finesse de son ton, Olive Kitteridge s’inscrit dans la lignée de romans comme Le cœur est un chasseur solitaire, de
Carson McCullers, ou Les Corrections, de Jonathan Franzen.
|
Mon avis :
Olive Kitteridge ? Il n'en a pas été beaucoup question dans le premier tiers de ce livre avant que j'abandonne ma
lecture.
Ce livre est écrit sous forme de différents tableaux qui se passent dans la même ville, avec des personnages
différents, mais cette fameuse Olive je l'attends toujours !
Pas tellement de liens entre les différentes histoires, j'ai trouvé que c'était assez décousu et je n'ai pas
réussi à m'accrocher pour aller plus loin que 150 pages.
Dommage car la plume de l'auteur est plutôt agréable à lire et je pensais aimer ce livre car j'ai vraiment
apprécié le premier chapitre sur le pharmacien, l'époux d'Olive.
Livre du prix des lecteurs
du Livre de Poche
|
Catégorie végétal
|
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
13 avril 2012
5
13
/04
/avril
/2012
04:20
|
Quatrième de couverture :
Un psychopathe sévit dans les environs de Berlin. Lorsque la police retrouve
ses victimes, ces dernières sont vivantes, n'ont subi aucun sévice, mais se trouvent prostrées dans un état végétatif, psychologiquement anéanties, comme privées de
conscience...
D'où le surnom que lui a donné la presse : le briseur d'âmes. Quelles tortures
mentales a-t-il infligé à ses proies ? Et pourquoi laisse-t-il dans leur main une phrase énigmatique ?
Caspar, un amnésique d'une quarantaine d'années interné dans une clinique
psychiatrique de luxe, n'aurait jamais imaginé croiser le chemin du psychopathe.
Et pourtant, en cette veille de Noël, alors qu'au-dehors une tempête de neige
fait rage, lui, le personnel médical et quelques patients se retrouvent enfermés dans la clinique, coupés du monde... avec le briseur d'âmes. Et, cette fois, il tue !
|
Mon avis :
Je n'ai pas pu finir ce livre, cette histoire m'a paru embrouillée et je n'ai pas du tout réussi à accrocher.
Je me suis un peu mélangée dans les personnages, dans les époques, je ne voyais pas très bien où l'auteur
voulait en venir.
Alors, comme en ce moment mes temps de lecture sont comptés, j'ai lâchement abandonné les protagonistes de ce
roman en mauvaise posture, tant pis je ne saurai pas ce qui va leur arriver.
J'avais pourtant lu des avis positifs, je pense que ce n'était pas le bon moment pour moi, dommage.
Livre emprunté à la
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
13 février 2012
1
13
/02
/février
/2012
05:20
|
Quatrième de couverture :
Tandis que mon père s'endort peu à peu
contre moi, je lui parle une dernière fois : Plus tard, tu ne pourras pas vivre avec le secret des Jardin. Il te tuera... Tu feras un livre, Le Nain Jaune, pour le camoufler. Au même âge que toi, j'en ferai un, Des gens très bien, pour l'exposer. Et je vivrai la dernière partie de ta
vie... La mienne. Dors mon petit papa, dors... Ce livre aurait pu s'appeler « fini de rire ». C'est le carnet de bord de ma lente lucidité. A. J.
|
Mon avis :
Je n'ai pas réussi à m'intéresser à l'histoire de cette famille de gens très bien ! Pas si bien que ça puisque l'auteur
cherche pourquoi personne n'a fait attention aux actions réalisées par le grand-père au moment de la rafle du Vel d'hiv' en 1942.
Je ne connais pas cette famille ni cet auteur et je n'ai pas accroché du tout à ses recherches.
J'ai pourtant essayé de continuer mais je n'avais vraiment aucun plaisir à lire ce livre.
Livre du prix des lecteurs
du Livre de poche
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir
20 janvier 2012
5
20
/01
/janvier
/2012
05:20
|
Quatrième de couverture :
Prague, 1942, opération « Anthropoïde » : deux parachutistes tchèques sont chargés par Londres d'assassiner Reinhard
Heydrich, le chef de la Gestapo et des services secrets nazis, le planificateur de la Solution finale, le « bourreau de Prague ». Heydrich, le bras droit d'Himmler. Chez les SS, on dit de
lui : « HHhH ».Himmlers Hirn heiβt Heydrich – le cerveau d'Himmler s'appelle Heydrich. Dans
ce livre, les faits relatés comme les personnages sont authentiques.
|
Pourtant, une autre guerre se fait jour, celle que livre la fiction
romanesque à la vérité historique. L'auteur doit résister à la tentation de romancer. Il faut bien, cependant, mener l'histoire à son terme…
Mon avis :
A priori ce livre ne me tentait pas mais je l'ai reçu en cadeau mais il a eu le prix
du premier roman mais il a eu le prix des lecteurs du Livre de poche et ... je n'ai pas réussi à le finir.
L'auteur a fait d'énormes recherches pour écrire ce livre, il en parle d'ailleurs car il intervient très
souvent, pour moi ce n'est pas vraiment un roman mais beaucoup plus un documentaire historique, ce qui explique que je sois complètement passée à côté de ce livre qui a certainement d'énormes
qualités. J'aime les livres historiques s'ils sont romancés, vraiment romancés.
Pourtant au début je me suis dit que c'était original que l'auteur intervienne ainsi pour nous parler de ses
recherches, mais tout cela est devenu rapidement bien compliqué pour moi.
En revanche je ne serais pas surprise qu'il plaise à mon homme, on verra .... pour l'instant il a d'autres
lectures en prévision.
PS : Pour finir il a eu le temps de le lire avant que je publie ce billet.
Mr a aimé : C'est bien écrit, un roman d'histoire ou Histoire romancée avec
un grand H. Je suis allé vérifier et tout ce qui est raconté est exact. Un sujet intéressant et bien traité.
Livre issu de ma
Kdo de mon homme
Publié par Sandrine(SD49)
-
dans
Je n'ai pas pu finir