8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 23:05

  

 

                              

Quatrième de couverture :
2000 : Christopher Dantès, homme d'affaires aussi riche que mystérieux, fait sa première apparition publique au gala du millénaire de la Finance, retrouvant les acteurs d'un drame qui s'est joué douze ans plus tôt.

1988 : Dans le monde sans pitié de la bourse, Alexandre, un jeune trader, est pris au cœur d'un jeu d'intrigues et de manipulations qui conduiront à sa chute.


Mon avis : 

T1 : La chute d'un trader
Alexandre un jeune trader est pris dans un engrenage, il s'enfonce peu à peu, saura-t-il s'arrêter à temps ? Des sommes énormes sont en jeu, qui subissent les hauts et les bas des cotations de la Bourse. 
Sans rien y connaître à la Bourse et à ses marchés, j'ai vraiment aimé ce premier tome, très prenant et bien stressant par moment.

T2 : Six années en enfer
On retrouve Alexandre en prison avec un codétenu sympathique qui veut l'aider à s'en sortir... Encore du stress mais aussi de l'émotion.
J'enchaîne directement sur le troisième tome.

T3 : Le visage de la vengeance
La vengeance d'Alexandre se met en place. C'est toujours aussi prenant et bien mené.  Vivement le 4ème tome.

Edit de 8h07 : Je viens de m'apercevoir par hasard que ce billet est le 1000ème sur mon blog.

 

Livre du club de      lecture
avec mes copines

     

Petit bac 2013 Catégorie partie du corps
 

     Ile de France

 

 


 
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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 23:06

Quatrième de couverture :
"Je vais te faire embaucher au Betrieb. La couture, c'est mieux pour toi. Le rythme est soutenu mais tu es assise. D'accord ?
. Je ne sais pas. . Si tu dis oui c'est notre enfant. Le tien et le mien. Et je te laisserai pas.
Mila se retourne :
. Pourquoi tu fais ça ? Qu'est-ce que tu veux ?
. La même chose que toi. Une raison de vivre."


En 1944, le camp de concentration de Ravensbrück compte plus de quarante mille femmes. Sur ce lieu de destruction se trouve comme une anomalie, une impossibilité : la Kinderzimmer, une pièce dévolue aux nourrissons, un point de lumière dans les ténèbres.

Dans cet effroyable présent une jeune femme survit, elle donne la vie, la perpétue malgré tout.

Un roman virtuose écrit dans un présent permanent, quand l'Histoire n'a pas encore eu lieu, et qui rend compte du poids de l'ignorance dans nos trajectoires individuelles.

Mon avis : 

Mila, une jeune femme enceinte, arrive au camp de concentration de Ravensbrück. On la suit pas à pas, elle et les femmes qui l'entourent.

"Mila se tient face au mur à cause de sa poitrine et des sexes nus des femmes, elle pense aux vieilles, le pire ce n'est pas d'être vue c'est voir, voir les vieilles et les mères qui se cachent".

"Savoir d'avance la déchéance qui t'attend. Ignorer tout de son processus".

"Il n'y a pas un bébé dans ce camp, pas une mère parce que mettre au monde  c'est mettre à mort".

"Je ne touche pas. Mon ventre c'est la mort. Il va mourir ici, l'enfant, c'est certain."
 

Ce qui m'a beaucoup marquée :
- Mila, la résistante, qui code les messages avec des notes de musique.

- Toute cette solidarité féminine.
- Leur façon de dormir pour se réchauffer, collées l'une contre l'autre et se soufflant de la chaleur dans le dos.
- Ces bébés avec des visages de vieux.

... et tant d'autres choses.

Un livre contre l'oubli, pour la mémoire. 

Un livre bouleversant qui m'a laissée les larmes aux yeux et rien que d'y repenser .....

Je ne suis pas très littéraire et je ne trouve pas les mots que j'aimerais pour rendre hommage à un si beau livre.

Une lecture commune 

avec Jérôme, Noukette, Saxaoul, Hérisson et Valérie.
 

 

Livre  emprunté à la 
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 4/6

 

 3/6
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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 23:06
Quatrième de couverture :
De la course à l'écriture, il n'y a qu'une foulée que Murakami nomme la vitalité. Pour s'astreindre à une discipline d'écrivain, l'auteur a vendu son club de jazz, arrêté de fumer, commencé à courir, inlassablement, tous les jours.
Journal, essai, éloge de la course à pied, au fil de confidences inédites, Murakami nous livre une méditation lumineuse sur la vie. 

Mon avis : 

"Courir présente toutes sortes d'avantages. Le premier, vous n'avez besoin de personne, aucun équipent spécialisé n'est indispensable. Inutile de vous rendre dans un lieu particulier. Du moment que vous avez des chaussures de sport aux pieds et une bonne route, vous pouvez courir tout votre content". p.47
Voilà ce que j'aime dans la course à pied, j'y vais quand je veux pour le temps que je décide sans être tributaire de quelqu'un d'autre. Je peux même changer d'avis en cours de route, ce qui m'arrive de temps en temps quand je ne suis pas en forme.

"Malgré la différence de niveau des uns et des autres, il y a des choses que seuls les coureurs partagent et comprennent. J'en suis convaincu" p.96
Je me demande si ce livre peut plaire à des gens qui ne courent pas, en revanche certains passages m'ont vraiment donné envie de courir plus. 

"Prends plaisir à la course ! (Have a good time!) Un marathon, s'il doit avoir un sens, soit être heureux. Sinon pourquoi des dizaines de milliers de gens courraient-ils quarante-deux kilomètres ?" p.166
Avec mes deux petites courses officielles de 10 kms je suis loin d'un marathon mais ces deux courses ont été vraiment très heureuses pour moi. Et je suis prête à recommencer ! Ma 1ère course, ma 2ème course.

Ce livre m'a fait réaliser une chose : Depuis que j'écoute des livres audio en courant je ne laisse plus mes idées vagabonder, d'ailleurs depuis cette lecture j'alterne livre audio et musique. 

J'ai moins aimé la dernière partie qui parle beaucoup de triathlon.

Un livre très bien choisi pour mon anniversaire par une blogueuse qui court aussi et qui prépare son 2ème marathon.
 

Livre offert par
Enna : Merci ! 

 

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 23:05
Quatrième de couverture :
Quand son fils meurt, renversé par un chauffard qui a pris la fuite, Antonio Rodriguez jure à sa femme qu'il le vengera. Tandis que l'enquête piétine durant des mois, il en vient à découvrir qui est le meurtrier, un cadre supérieur de sa propre entreprise dont l'attitude lui paraît hautement suspecte. Pourtant, un jour, les gendarmes l'informent qu'ils viennent d'arrêter le coupable. Les preuves sont formelles, l'homme est passé aux aveux. Mais ce n'est pas le même individu. 

Dans ce roman à quatre voix - Antonio et sa femme, Sylvia, Jean-Pierre, l'assassin, et son épouse, Christine -, se noue un ballet macabre sur le thème de la justice personnelle, au rythme crescendo d'une question qui fera basculer leur destin à tous: qui Antonio Rodriguez tuera-t-il ce soir?

Mon avis :
Voici un livre difficile à lâcher une fois commencé car il touche un sujet sensible. Un chauffard renverse un enfant en vélo et s'enfuit. 
Quelle lâcheté ! Ce Boulard est vraiment imbuvable, on espère qu'il va se faire prendre. En écho à sa voix, Christine son épouse mène l'enquête de son côté car des choses lui paraissent bizarre.

Parallèlement, les parents du petit garçon s'expriment sur leur douleur, leur envie de vengeance. Vont-ils passer à l'acte ? 
Mais à quoi tout ceci va-t-il aboutir ? 
Très noir et poignant mais j'ai passé un très bon moment de lecture.

 

L'avis d'Yv.

Livre emprunté à la
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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 15:15

Voici un nouveau challenge qui tombe pile poil avec ma lecture terminée hier après-midi (billet à venir le 07/11).

Galéa sous les galets va répertorier nos coups de cœur de cette rentrée littéraire. Je pense que j'irai y piocher des idées !

En plus, j'aime bien son blog, sa façon d'écrire, son humour, ce qui ne gâche rien.

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1 novembre 2013 5 01 /11 /novembre /2013 07:37

                                

Oh non je ne participe pas à un marathon !!!!! c'est Enna qui va le courir pour la deuxième fois, elle nous propose un marathon solidaire. 

Allez vite voir sur son blog, tout est expliqué.

Je l'admire de courir un marathon mais aussi d'en profiter pour le faire pour une "bonne cause". 

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30 octobre 2013 3 30 /10 /octobre /2013 23:05
Quatrième de couverture : 
Un " appartement ravioli ", dans Le jargon des flics, c'est un traiteur asiatique en chambre : normes d'hygiène inconnues, organisation féodale du travail, marmites graisseuses et cafards à discrétion. A l'occasion d'une perquisition dans l'une de ces cuisines clandestines, la vie de la sublime Alice Delain, fonctionnaire à la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) va basculer. Au mépris de toute déontologie, la jeune femme fait main basse sur le trésor de guerre de la propriétaire des lieux, une vieille Chinoise vénale. 

Intriguée par un mystérieux carnet découvert avec le magot, elle convainc un ancien chercheur du CNRS, devenu interprète par nécessité, de le déchiffrer. Mais ni Alice ni le traducteur ne mesurent le danger auquel ils s'exposent. La disparition du carnet a en effet provoqué une vague d'épuration d'une rare violence dans la communauté chinoise...

Mon avis : 
Après avoir lu ce livre je n'ai pas très envie de manger de la cuisine chinoise.... Cafards, crasse, cuisine clandestine par une vieille chinoise, pas très appétissant.
C'est le départ d'une enquête qui va mêler d'inquiétants chinois et une jeune femme prénommée Alice. Celle-ci profite de sa beauté pour embobiner tous les hommes dont elle a besoin pour manigancer une belle escroquerie.

"Plutôt qu'une guerre de gangs, il voit dans cette succession de meurtres un jeu de dominos chinois dont il donnerait cher pour connaître l'instigateur." p.17

Il est également question d'un magot qui passera de mains en main, mais qui en profitera ? 

Une histoire aux multiples rebondissements qui se lit vraiment facilement.

 

Livre  emprunté à la 
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  Petit bac 2013
        catégorie aliment 
 

     Ile de France

 

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28 octobre 2013 1 28 /10 /octobre /2013 23:05
Quatrième de couverture :
Une maternité. Chaque porte ouvre sur l'expérience singulière d'une femme tout juste accouchée. Sensible, vulnérable, Béatrice, qui travaille là, reçoit de plein fouet ces moments extrêmes.
Les chambres 2 et 4 ou encore 7 et 12 ravivent son passé de danseuse nue sillonnant les routes à la lumière des projecteurs et au son des violons. Ainsi réapparaissent Gabor, Paolo et d'autres encore, compagnons d'une vie à laquelle Béatrice a renoncé pour devenir normale. Jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus supporter la violence du quotidien de l'hôpital.

Un hommage poignant au corps des femmes, et un regard impitoyable sur ce qu'on lui impose.
 

Mon avis :
Déjà quelques jours que j'ai terminé ce livre et je ne sais pas trop comment en parler.
Je n'ai pas adoré mais je n'ai pas détesté non plus, un avis mitigé alors que je pensais que je serais plus touchée par ces histoires de femmes.
Les chapitres qui parlent des occupantes des chambres de la maternité sont un peu courts pour vraiment s'attacher à ce qui leur arrive, et pourtant certaines situations sont vraiment poignantes.

J'ai été plus touchée par l'histoire de Béatrice et sa vie de danseuse nue, nomade avec Gabor. Certains passages sont très beaux et d'autres très tristes.

Un avis en demi-teinte, peut-être un livre à relire à un autre moment.

 

 3/6

 

Merci à Babelio.

tous les livres sur Babelio.com
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25 octobre 2013 5 25 /10 /octobre /2013 22:05
Quatrième de couverture :
Interprété par Hélène Lausseur. Ennatown, la «ville des serpents d'eau» en langue iroquoise : sans histoires, avec son Comité de charité interconfessionnel, sa bonne conscience, son lot de mâles chasseurs et leurs desperate housewives qui picolent trop. Une sérieuse ombre au tableau, toutefois : il y a une quinzaine d'années, l'un des leurs, forcément l'un des leurs, a enlevé cinq petites filles. Quatre ont été retrouvées au fond d'un lac 
ou d'une rivière - d'où le surnom du mystérieux criminel : le Noyeur.

La dernière n'a jamais refait surface. Et voici qu'à la veille de Noël, sous la neige, surgit de nulle part une petite créature crasseuse en survêtement rose maculé, muette et terrifiée, qui aussitôt s'enfuit avec le citoyen le moins fréquentable d'Ennatown : Black Dog, géant noir, débile léger et SDF. Qui est-elle ? Trop jeune pour être la disparue... Alors ? L'hystérie collective repart de plus belle : le Noyeur, c'est Black Dog, évidemment. Seul Limonta, ex-flic alcoolo à la conscience chargée, s'étonne que personne dans la ville n'ait signalé la disparition d'une enfant de cinq ans...
 

Mon avis : 
Une petite fille qui sort de nulle part et qui s'attache à Black Dog, un SDF simple d'esprit. Les habitants de la petite ville d'Ennatown organisent une battue pour les retrouver. Qui est cette petite fille ? A-t-elle un rapport avec les meurtres de fillettes quinze ans auparavant ?
Le lecteur le sait et on suit parallèlement les différents personnages impliqués dans cette histoire.

La voix de la lectrice est géniale, notamment quand elle fait parler Black Dog ou la petite fille, ces deux personnages sont réellement très attachants. Plusieurs de leurs réflexions m'ont fait sourire et pourtant cette histoire est plutôt dramatique.

Plus la fin de l'histoire approchait et plus j'avais envie de continuer mon écoute sans m'arrêter.

Un livre choisi au hasard à la bibliothèque : Bonne pioche !

 

Livre  emprunté à la 
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  Petit bac 2013
        catégorie animal 

 

   Petit bac 2013
catégorie objet 
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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 22:05
Quatrième de couverture :
Au revoir là-haut « Pour le commerce, la guerre présente beaucoup d'avantages, même après. »
Sur les ruines du plus grand carnage du XXe siècle, deux rescapés des tranchées, passablement abîmés, prennent leur revanche en réalisant une escroquerie aussi spectaculaire qu'amorale. Des sentiers de la gloire à la subversion de la patrie victorieuse, ils vont découvrir que la France ne plaisante pas avec ses morts...
Fresque d'une rare cruauté, remarquable par son architecture et sa puissance d'évocation, 

Au revoir là-haut est le grand roman de l'après-guerre de 14, de l'illusion de l'armistice, de l'État qui glorifie ses disparus et se débarrasse de vivants trop encombrants, de l'abomination érigée en vertu.
Dans l'atmosphère crépusculaire des lendemains qui déchantent, peuplée de misérables pantins et de lâches reçus en héros, Pierre Lemaitre compose la grande tragédie de cette génération perdue avec un talent et une maîtrise impressionnants.

 

Mon avis : 
Albert et Edouard se rencontrent sur un champ de bataille le 2 novembre 1918. La guerre est presque finie, l'évènement qui les fait se rencontrer va les rapprocher et tisser des liens forts entre eux.
Le lieutenant Pradelle est également partie prenante dans cette rencontre, il n'est d'ailleurs pas tout net.

J'ai aimé l'histoire des deux poilus, ils sont attachants, on se rend bien compte des problèmes qu'ils ont pu rencontrer après la démobilisation : précarité, vie difficile, souvenirs.

En revanche, la partie qui met en scène le lieutenant Pradelle prenant part à des faits peu glorieux, m'a paru longue et je dois avouer que j'ai même lu une partie du livre en accéléré.

Je suis donc globalement déçue par cette lecture. Tant pis.

 

Livre emprunté à la
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           2/6
 

 

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