15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 05:20

Cette vie ou une autreQuatrième de couverture :

Lucy a quitté le lycée et sa famille pour suivre un professeur charismatique qui n'est peut-être pas celui qu'elle croyait, Mike recherche  son frère jumeau disparu depuis dix ans et qui a sans doute causé la mort de leurs parents, le jeune Ryan est bouleversé d'apprendre la véritable identité de son père : trois personnages totalement étrangers les uns aux autres, et dont les destins viennent s'entremêler de manière vertigineuse. Comme dans un jeu de pistes, Dan Chaon, finaliste du National Book Award, l'auteur de Parmi les disparus, établit des correspondances subtiles entre ces trajectoires, transformant peu à peu son récit en un véritable suspense psychologique, à la croisée des univers de David Lynch et de Don DeLillo. Une démonstration de virtuosité et d'audace littéraires sur l'érosion de l'identité dans un monde de plus en plus virtuel.  

Mon avis :

J'ai choisi ce livre dans un partenariat d'après son résumé comme d'habitude, en général j'aime les histoires qui se croisent.

Mais cette fois-ci j'ai été déçue, pourtant cela commençait bien, je passais allégrement d'un personnage à l'autre de chapitre en chapitre. 

A partir d'un certain moment je me suis demandée où l'auteur voulait en venir, j'ai commencé à me mélanger un peu entre le passé et le présent, j'ai trouvé le temps long avant de comprendre les tenants et les aboutissants de l'histoire.

C'est pourtant bien écrit et facile à lire mais j'ai vraiment eu du mal à me situer par moment : est-on maintenant ou est-on avant ????? C'est surtout ce point à qui m'a gênée pour apprécier cette lecture.

J'ai reçu ce livre grâce au partenariat avec les éditions Albin Michel sur le site de BOB. 

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29 octobre 2010 5 29 /10 /octobre /2010 04:20

un bonheur parfaitQuatrième de couverture :

Nedra est belle, assurée, et sait donner aux gestes quotidiens une sorte d'élégance. Viri est architecte. Il rêve d'accomplir une oeuvre qui lui survivra, et dévore les biographies des hommes illustres. Ils habitent une vieille demeure non loin de New York, ils s'aiment. Peut-être sont-ils moins heureux qu'ils ne le disent.  

Mon avis : 

Grosse déception !!! Cet auteur n'est manifestement pas fait pour moi, Après Un sport et un passe-temps que je n'ai pas aimé, je ne pense pas que je lirai un troisième livre de cet auteur.

J'ai trouvé cette histoire très décousue, on suit ce couple dans des réceptions, des soirées entre amis, dans leurs infidélités dans les relations avec leurs filles.

Ils ne m'ont pas interessée, on passe du coq à l'âne, on ne sait pas très bien qui est qui dans leurs relations, et je n'ai pas du tout aimé ce livre.  J'ai trouvé le titre du livre cynique par rapport à son contenu.

Je me suis accrochée au début puis je l'ai fini en diagonale accélérée, c'est pour dire que je l'ai vraiment survolé, c'est presque un abandon.  

Livre issu de ma

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 22:00

Ce que je sais de Vera CandidaQuatrième de couverture :

Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d'une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe.

Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu'un destin, cela se brise. Elle fuit l'île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d'une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L'Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir. Un ton d'une vitalité inouïe, un rythme proprement effréné et une écriture enchantée. C'est ce qu'il fallait pour donner à cette fable la portée d'une histoire universelle : l'histoire des femmes avec leurs hommes, des femmes avec leurs enfants.

L'histoire de l'amour en somme, déplacée dans l'univers d'un conte tropical, où Véronique Ovaldé a rassemblé tous les thèmes - et les êtres - qui lui sont chers.

 

Mon avis :

Pour ce livre j'ai eu un peu le même ressenti que pour Le coeur cousu de Carole Martinez. J'ai lu beaucoup d'avis positifs, j'ai aimé le début du livre et au fur et à mesure que l'histoire avançait je m'en suis lassée. Je n'arrive pas trop à déterminer les causes de cette impression, l'écriture est agréable et je me fais l'effet d'un vilain petit canard.

Je ne sais pas si ce livre n'était pas fait pour moi ou si je ne l'ai pas lu au bon moment, mais un étrange état de somnolence me prenait après la lecture de quelques pages, fatigue ou manque d'intérêt, peut-être les deux.

Allez plutôt lire les nombreux avis recensés chez BOB.

Livre emprunté à la

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10 septembre 2010 5 10 /09 /septembre /2010 04:20

Béatrice et VirgileQuatrième de couverture :

Henry, romancier à succès, a décidé qu'il n'écrirait plus. Jusqu'au jour où il reçoit un extrait d'une pièce de théâtre accompagné d'un mot lui demandant son aide. L'auteur, un taxidermiste étrange et manipulateur, lui présente ses curieux personnages : Béatrice et Virgile, une ânesse et un singe empaillés. À mesure qu'il découvre la pièce, Henry est hanté par les expériences traumatisantes qu'endurent les deux animaux. Au point d'en voir sa vie bouleversée.

Véritable réflexion sur le Mal, Béatrice et Virgile est un roman dérangeant. Avec toute l'intelligence et l'originalité qui ont fait le succès international de L'Histoire de Pi, Yann Martel nous entraîne dans une fable obsédante et inoubliable.

 « Martel fait passer avec brio son lecteur de la gaieté trompeuse du début aux ténèbres terrifiantes de la boutique du vieil homme et du passé européen. Un roman qui laisse le lecteur choqué, surpris et ému. » USA Today  

Mon avis :

Voici un livre dont je n'ai pas encore entendu parler sur les blogs.

Je l'ai donc pris au hasard dans les nouveautés de la bibliothèque.

Et je n'ai pas lu la quatrième de couverture.

J'ai beaucoup aimé ........ les trois premières pages de ce livre. Le personnage principal qui est un écrivain nous parle des relations entre un auteur et ses lecteurs, ainsi que des rencontres qui en découlent parfois. Ces trois première pages sont vraiment très chouettes, bien écrites, intéressantes.

C'est ensuite que cela s'est gâté pour moi. Henry, le personnage principal, rencontre un taxidermiste qui a  besoin de son aide pour la pièce qu'il est en train d'écrire. Il écrit une longue lettre à Henry (spéciale la lettre), et quand ils se rencontrent  dans la boutique du taxidermiste on a droit à une longue liste d'animaux ainsi qu'à la longue liste du matériel nécessaire à cette profession.

La pièce de théâtre dont il est question met en scène deux animaux, Béatrice et Virgile, une ânesse et un singe, qui parlent de fruits dans un premier temps, puis d'un pays qui s'appelle chemise et c'est une chemise rayée, en rapport avec la tenue des déportés durant la guerre.

Alors, là j'ai décroché. Je ne voyais pas trop où l'auteur voulait en venir même si Henry avait écrit un livre sur l'holocauste. On passe alternativement des passages de la pièce de théâtre aux rencontres entre Henry et le taxidermiste (Henry aussi!).

Je me rends compte que je ne vais pas du tout vous donner envie de le lire, mais je n'en pouvais vraiment plus de cette lecture. Je ne sais plus où j'ai lu que c'était "une allégorie animalière", si j'avais su cela avant de l'emprunter et bien je ne l'aurais pas lu.

Ce livre n'était pas fait pour moi, même s'il est bien écrit, c'est la façon de traiter le sujet que je n'ai pas aimé.

J'ai hâte de lire d'autres avis sur la blogosphère !!! 

Livre emprunté à la  

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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 04:20

Série ZQuatrième de couverture :

Félix Zac vit aux crochets de Sophie - qui a de nombreuses qualités, dont la plus remarquable est de supporter Félix. Elle a seulement des doutes, parfois, sur la santé mentale de son ami, qui a tendance à mélanger fiction et réalité. Cinéphile, Félix écrit des scénarios qu'il n'achève jamais. Jusqu'au jour où, mystérieusement inspiré, il met un point final à L'Hospice de l'Angoisse. L'intrigue se passe à la Niche Saint-Luc, joyeuse maison de retraite où de vieux acteurs terminent leur existence. Dans cet établissement au-dessus de tout soupçon, un cadavre va semer le trouble. D'autant plus qu'il est le premier d'une longue série... Félix est sûr du succès : un certain Boudini, producteur à Rungis, s'intéresse à son chef-d'oeuvre ! Les ennuis commencent quand la fiction rattrape la réalité, et que de vrais cadavres se ramassent à la pelle... Où est le vrai ? Où est le faux ?! Hommage plein de rebondissements au cinéma de " série Z ", regard décalé sur le grand âge, humour et légèreté : voici le nouveau roman de J. M. Erre, l'auteur de Prenez soin du chien.

 

Mon avis :

Je me méfie toujours un peu des livres "drôles", et pourtant au vu des avis positifs sur la blogosphère et de ma rencontre avec ce livre à la bibliothèque, me voilà partie dans cette histoire loufoque.

J'ai trouvé cette histoire amusante et surprenante... pendant une bonne moitié du livre. Toute cette ironie sur les maisons de retraite, les films de série Z, la vie de Félix m'ont vraiment fait sourire.

Notamment les dialogues des pensionnaires de la maison de retraite qui sont d'anciens acteurs de films porno, c'est croustillant.

Les policiers m'ont énervée, leur enquête n'avance pas.

J'ai bien aimé l'idée du lecteur de Knokke Le Zoute qui donne son avis sur le livre à chaque fin de chapitre.

En revanche, j'ai trouvé que ça trainait un peu en longueur et je me suis lassée, je l'ai donc terminé en accéléré.

Je ne suis pas très réceptive à ce genre de livre ou il faudrait qu'il soit plus court.

  

Les avis positifs de :   Gwenaëlle Keisha Clara Cathulu  Pickwick Leiloona

Un avis proche du mien chez Le monde de la lecture 

Livre emprunté à la

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22 juin 2010 2 22 /06 /juin /2010 04:20

L'amour secretQuatrième de couverture :

A la mort de son père, célèbre violoncelliste, Lucrezia met au jour dans les affaires du défunt une boîte remplie de lettres, toutes écrites par la même personne : une certaine Costanza, qui, des années durant et dans le plus grand secret, fut la maîtresse du musicien.
Surprise de découvrir cette relation dont elle ne soupçonnait pas l'existence, Lucrezia décide de se rendre en Provence, chez Costanza, afin d'en apprendre davantage sur son père.

Le temps d'un week-end, celle-ci va lui parler de l'homme qu'elle a aimé.

Mon avis :

Je n'ai pas accroché à cette histoire, je l'ai trouvé trop lente, pas très structurée. La narratrice écrit à une amie mais ce n'est pas très net dès le début.

  Cette femme qui se plaint de ne pas avoir son amant pour elle seule, mais elle savait qu'il était marié (elle aussi d'ailleurs !) mais je sais qu'il y en a que ça ne gêne pas .....  

Elle lit certaines des lettres qu'elle a écrit à son amant à la fille de celui-ci, et même certains passages très intimes, beaucoup trop pour être lus à quelqu'un surtout à la fille du destinataire de la lettre.

J'ai trouvé ça plutôt malsain.  

Je n'ai pas du tout été sensible à cet "amour", il m'a semblé qu'elle avait décidé qu'il serait à elle, et que lui s'est laissé faire.  

Cette Costanza paraît vraiment soûlante à parler tout le temps, il faut dire que lui était plutôt du genre silencieux.

Je n'ai pas ressenti l'amour de l'homme pour cette femme, j'ai eu l'impression que c'était à sens unique.

 

Il me faut découvrir de cet auteur L'amour à la lettre A qui semble mieux que cette histoire là.  

 

Merci à Suzanne de rejoignez_160x60.gif  et aux éditions Presses de la cité pour ce livre.

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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 04:20

Finnigan et moiQuatrième de couverture :

Anwell, jeune garçon de 20 ans, raconte son histoire depuis son lit d'hôpital alors qu'il est victime d'un mal inconnu.
Sous forme de flash-back, il narre son enfance bouleversée par sa rencontre avec Finnigan, son opposé, son idéal.
Toujours accompagné de son chien Surrender, Finnigan n'est pas comme les autres : il n'est pas gentil ni bien élevé, il ne va pas à l'école et, surtout, il est son seul ami.

Les deux garçons passent un pacte : dès qu'il faudra mal agir, Finnigan s'en chargera.
Anwell n'aura plus qu'à faire le bien.
Lorsqu'une épidémie d'incendies ravage le village, la police locale est sur la sellette.

La suspicion grandit et achève de diviser les habitants de Mulyan, une petite bourgade australienne jusqu'à ce que Gabriel convainque Finnigan d'arrêter...
Un roman qui flirte avec le fantastique. Un merveilleux livre sur l'enfance. Une écriture précise et poétique.
« Son imagination est aussi sauvage que celle de Dostoïevski ou d'Emily Brontë et aussi gothique qu'une tête de mort... Si vous ne devez lire qu'un livre australien cette année, lisez Finnigan et moi (The Weekend Australian).

 

Mon avis :

"Un roman qui flirte avec le fantastique......Une écriture précise et poétique" 

Et bien voilà, ce n'est pas fait pour moi, je suis complètement passée à côté de cette histoire.

Je crois que j'ai l'esprit trop cartésien, il y avait trop de flou autour des personnages, c'est voulu bien sûr mais je n'y ai pas été sensible.   

Je ne voyais pas trop où l'auteur voulait en venir, j'ai même hésité à abandonner.

Mais un soupçon a jailli dans mon esprit et je voulais savoir s'il allait être confirmé ou non.

J'ai donc continué en passant à la vitesse supérieure (pages survolées, lecture accélérée).

 

Allez plutôt lire les avis de Cécile Qd9, Biblioblog, Clarabel qui ont été conquises par cette lecture.

Et l'avis plus mitigé de Majanissa.  

   

Livre emprunté à la

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25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 05:20
loving frankQuatrième de couverture :
Au début du XXe siècle, la bonne société de Chicago resta foudroyée par le soufre d'un scandale sans précédent.
Pour l'amour éperdu d'un homme, une femme osa l'impensable et commit l'irréparable. Elle en paya le prix toute sa vie.
Elle s'appelait Mamah Borthwick Cheney. Lui n'était autre que Frank Lloyd Wright, l'enfant génial et rebelle de l'architecture américaine à qui Mamah et son mari Edwin Cheney avaient demandé, en 1903, de construire leur nouvelle maison.
En 1909, tombée entre-temps follement amoureuse du célèbre architecte, Mamah choqua une époque pudibonde et dévote en quittant son mari et ses deux jeunes enfants pour suivre Frank Lloyd Wright en Europe.
Ce dernier, tout aussi épris, laissait derrière lui une Amérique stupéfaite, une épouse et six enfants... Enchaînés par la passion, mais hantés par une culpabilité intolérable, ils firent la une de la presse américaine durant leurs séjours en Allemagne, en Italie et à Paris, lors de la grande crue de 1910...
Mais aucun journal à sensation n'aurait pu prévoir ce qui adviendrait à ce couple maudit de retour aux États-Unis, en 1914. La violence du dénouement verra - au-delà du déchirement des familles Cheney et Wright - le monde pétrifié.
Pour la première fois nous est contée l'histoire de l'émancipation très en avance sur son temps de Mamah Borthwick, et de son amour pour l'un des plus grands maîtres de l'architecture moderne.

Mon avis :
Je suis assez mitigée sur ce livre, c'est une h
istoire qui paraît assez incroyable au début des années 1900.
J'ai eu du mal à les trouver sympathiques, comment cette femme fait elle pour ne pas voir ses enfants depuis près de deux ans, elle s'en plaint mais reste loin d'eux.
C'est vrai que c'était une autre époque et que c'était courageux de prendre cette décision dans ces années-là, c'était peut être pour elle le seul moyen de se construire une vie indépendante, mais quand même ses enfants étaient vraiment jeunes pour vivre ça.
La partie dans laquelle ils font construire leur maison dans le Wisconsin est vraiment longue et je me suis un peu lassée mais j'ai quand même continué (un peu en diagonale à dire vrai ...) car je savais que la fin était inattendue. Et elle l'a été !
Mon avis détonne un peu par rapport aux autres que j'ai pu lire car je n'ai pas trouvé que cétait une "belle" histoire d'amour.


A propos de livres a beaucoup aimé, c'est chez elle que j'avais noté ce livre.
L'avis de conjuration des livres qui est très proche du mien (j'ai eu du mal à en trouver un !!)
et d'autres avis beaucoup plus enthousiastes que le mien chez BOB.


Livre emprunté à la
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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 05:20
Un sport et un passe-tempsQuatrième de couverture :
«Pâle fin de journée et la gare est déserte. Dans les cafés les lumières ne sont pas encore allumées. Dean est assis dehors à une des tables en fer. Dans la rue en pente bordée d'arbres qui débouche sur la place, minuscule, presque seule, Anne-Marie descend.»
Elle n'est pourtant pas si jolie. Mais Dean est fou d'elle, de son corps, de sa peau. Le temps d'une virée à travers la France, ils vivent un amour radieux, incandescent et fatalement éphémère...

Résumé :

Au coeur des années 1960, une Delage traverse la France des provinces assoupies avec à son bord deux Américains, deux hommes désinvoltes, deux dilettantes que l'agitation parisienne a cessé d'amuser. Un soir, à la sortie du dancing d'Autun ils arrachent aux avances de quelques soldats ivres une jeune Française à la beauté indolente. Séduite sans efforts par le plus jeune des passagers de la décapotable, elle s'abandonne avec lui à une relation érotique d'une rare densité. Sous le regard insistant du narrateur, imaginant les scènes qui ne lui ont pas été confessées, les amants passent leurs après-midi à se mélanger dans la moiteur d'interminables siestes aux draps éparpillés. Page après page, leur corps à corps baigné de la lumière filtrée par les persiennes dessine les contours d'un amour total comme l'été mais précaire comme un rêve.

Mon avis :
Ce livre est un coup de coeur du libraire chez lequel mon mari a pris conseil pour m'offrir ce livre pour Noël. Et bien je n'ai pas aimé ce livre, je me suis ennuyée car il ne se passe pas grand chose, ils font une virée en voiture, ils vont au restaurant, ils font l'amour et voilà ...... Alors effectivement c'est assez sympa de se promener à travers la France  mais peut être que ce livre est plutôt fait pour plaire aux américains qui ne connaissent pas notre pays. Ce ne fut donc pas un coup de coeur mais une grosse déception, je l'ai même fini en le lisant en diagonale pour voir s'il allait se passer quelque chose.


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Livre issu de ma PAL
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et cadeau de Noël

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 05:20
Quatrième de couverture :
"Un jour, ce n'est rien mais je le raconte tout de même, un jour d'hiver je me suis mis en tête de réparer le radiateur de ma salle de bains, un appareil à résistances fixé au-dessus de la porte. Je ne sais pas ce qui m'est passé sous le crâne ce jour-là, je me suis cru l'un de ces magiciens de la vie pour qui tout est facile. Il faut dire que jamais encore je n'avais été confronté à de réels obstacles, ni dettes faramineuses, ni chagrins d'amour, ni maladies graves, ni problèmes d'honneur avec la pègre, ni pannes de radiateurs, rien, peut-être un ongle cassé - alors naturellement j'étais naïf."

Mon avis :
Autant vous le dire toute suite je ne fais pas partie de celles qui ont adoré ce livre !!! non ne tapez pas !!!!!
Au début je l'ai pourtant trouvé drôle dans sa façon de raconter les évènements : la réparation du radiateur, la garde à vue.  Mais au bout d'un moment je ne savais plus très bien où j'en étais à chaque fois que je reprenais le livre, ça part dans tous les sens, un peu trop pour moi d'ailleurs, j'avais du mal à suivre le fil ou à m'y raccrocher. Imagine-t-il telle situation ou la vit-il vraiment ????
C'est dommage car il y a des passages vraiment très amusants. Il y a des théories assez loufoques mais bien expliquées : La théorie selon laquelle les femmes à forte poitrine ont également de fortes mâchoires...
Bref, j'ai trouvé tout cela très embrouillé (et très imbibé d'alcool !).

Livre emprunté à la
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