29 avril 2014 2 29 /04 /avril /2014 22:04

Un Skype pour cause de baisse de moral à Munich / 10 lessives en un week-end... / Super concert de gospel avec un groupe de jeunes et Dominique Magloire / Un petit délire de blogueuses, sur FB et par SMS, autour d'un livre et d'une boisson un samedi après-midi / Une grande nouvelle après plus de quatre ans de tracasseries judiciaires / Je reprends le vélo pour aller au boulot / Un petit 10 kms par jour de vélo pour aller au travail / Inscription au 1er stage BAFA pour mon n°3 / Séjour pascal en Espagne pour Miss P. / Nouveau passeport d'urgence fait au consulat de Séville... / Début de week-end pascal avec mes parents / Ils tiennent la forme : 5,2 + 8,6 kms de marche à pied / Inscription à mon premier trail : 9 kms le 15 juin / Motivée pour m'entraîner après ma blessure à la cuisse / Une semaine de vacances / Pas sûr qu'il fasse aussi beau qu'au mois de mars / Dates de congés d'été toujours pas fixées à mon travail, grrr ! / 1er samedi de vacances = 2 siestes / Une clé rouillée retrouvée dans le lave-linge... / Certificat médical pour le trail du mois de juin : je suis apte / Un petit tour chez Ikea / 1 fauteuil  + 2 poêles / Une séance de cinéma / De toutes nos forces avec Jacques Gamblin / Un film fort et très émouvant que j'ai adoré /

 

Sur une idée de Moka

Moi après mois : Avril 2014Moi après mois : Avril 2014
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27 avril 2014 7 27 /04 /avril /2014 22:05

                                                 

Quatrième de couverture :
La robe en miel était le point d’orgue de la collection automne-hiver de Marie. À la fin du défilé, l’ultime mannequin surgissait des coulisses vêtue de cette robe d’ambre et de lumière, comme si son corps avait été plongé intégralement dans un pot de miel démesuré avant d’entrer en scène. Nue et en miel, ruisselante, elle s’avançait ainsi sur le podium en se déhanchant au rythme d’une musique cadencée, les talons hauts, souriante, suivie d'un essaim d’abeilles qui lui faisait cortège en bourdonnant en suspension dans l’air, aimanté par le miel, tel un nuage allongé et abstrait d’insectes vrombissants qui accompagnaient sa parade.

Nue est le quatrième et dernier volet de l'ensemble romanesque MARIE MADELEINE MARGUERITE DE MONTALTE, qui retrace quatre saisons de la vie de Marie, créatrice de haute couture et compagne du narrateur.
 
Par sa lecture, Jean-Philippe Toussaint révèle toutes les nuances des mille et un visages de Marie, dont l’absence autant que la présence peuplent d’images le rêve éveillé qui habite le narrateur jusqu’à l’obsession.

Mon avis : 
Ce livre audio est en fait le quatrième volume de l'histoire de Marie, créatrice de haute couture. Je ne sais pas si c'est la raison pour laquelle je n'ai pas accroché à cette histoire ou si c'est le ton du lecteur qui ne m'a pas convenu.

Toujours est-il que je n'ai pas pu aller au bout de ce livre audio qui était pourtant très court  (3h50), je m'ennuyais et j'ai abandonné les personnages en cours de route.

Je m'aperçois que je ne raffole pas des livres lus par leurs auteurs, cela s'est vérifié pour celui-ci mais aussi pour Pierre Lemaitre et Eric-Emmanuel Schmitt. Le seul que j'ai aimé un peu c'est Mathias Malzieu bien qu'il lise son texte bien trop vite.

"Nue" est ma dixième lecture pour le prix Audiolib, j'ai donc terminé la sélection, il ne me reste plus qu'à classer tous les titres par ordre de préférence.
 

L'avis de Bladelor.

 

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25 avril 2014 5 25 /04 /avril /2014 22:03

                                                

 

Quatrième de couverture : 
Réveillée tard le matin de Noël, Holly se voit assaillie par un sentiment d’angoisse inexplicable. Rien n’est plus comme avant. Le blizzard s’est levé, les invités se décommandent pour le déjeuner traditionnel. Holly se retrouve seule avec sa fille Tatiana, habituellement affectueuse, mais dont le comportement se révèle de plus en plus étrange et inquiétant…

L'interprétation d'Irène Jacob aiguise à chaque mot l’inquiétude et l’étrangeté.

Mon avis : 
J'avais bien aimé la version papier de ce livre malgré les question restées sans réponse. Pour une fois, j'ai préféré la version papier à la version audio.

La lectrice est très bien tant qu'elle ne prend pas un ton geignard, tant qu'elle ne crie pas quand les personnages sont en colère. J'ai trouvé que cela faisait "faux".

Je n'ai pas réussi à être prise dans cette ambiance particulière que j'avais sentie lors de ma première lecture. Je me suis ennuyée, il faut bien le dire.

La chute ne m'a pas paru cohérente mais je ne peux pas dire pourquoi au cas où vous n'auriez pas lu le livre....

Une déception alors que je pensais prendre plaisir à redécouvrir ce livre sous cette forme.

Mon avis sur la version papier est ici.

 

 
                                 Catégorie moment/temps


Catégorie moment/temps
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23 avril 2014 3 23 /04 /avril /2014 22:06

                                              

Quatrième de couverture :
«Il y a des affaires qui te pourrissent la vie..., elles restent en toi, plantées dans ton coeur comme un clou qu'un mauvais plaisant s'amuserait à manipuler...»

Miné par ses excès et la maladie, le commandant Revel crache le sang et sa haine de l'hypocrisie. Bourru, taiseux et rogue, il enrage devant les affaires non résolues à la PJ de Versailles : morts suspectes, disparitions...
Comment la vérité pourrait-elle sortir de la bouche d'un enfant autiste ?
Son équipe respecte les mystères du «patron» et, au-delà de la simple «vérité due aux familles», la vérité complexe d'un grand flic dont le courage en impose à la mort, celle des autres comme la sienne !

Mon avis : 
Maxime, commandant de police grincheux est entouré d'une équipe soudée. Il a de la chance car il n'est pas en grande forme et paie ses excès (alcool, cigarette).

Trois affaires s'entremêlent dans ce roman, un meurtre récent ainsi que deux affaires anciennes (meurtres et disparition). Ce sont ces deux dernières qui sont des "clous dans le cœur" de Maxime, dont une qui le touche personnellement. 

Dans ce livre, j'ai surtout aimé les personnages policiers, Maxime et son équipe, leur persévérance, leurs tracas professionnels et personnels.

J'ai aussi apprécié qu'il y ait des surprises jusqu'à la fin des enquêtes.

Un bon petit polar qui m'a fait passer un moment agréable.

 

 Livre issu de ma 

    

Catégorie objet

 

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21 avril 2014 1 21 /04 /avril /2014 22:01

                                           

Quatrième de couverture :
Nicolas Duhamel découvre à plus de vingt ans qu'un troublant mystère entoure ses origines. Pourquoi sa famille a-t-elle délibérément rayé un pan de son histoire ? Son père, disparu au large de la côte basque alors qu'il était encore enfant, n'est plus là pour lui répondre. Affecté par l'onde de choc de ces révélations, le jeune homme se lance sur la piste de ses ancêtres, jusqu'à Saint-Pétersbourg.

De cette enquête découlera un roman qui rencontrera un succès phénoménal. Grâce à ce livre, Nicolas pense en avoir fini avec les fantômes du passé. Pourtant, lors d'un séjour dans un hôtel de rêve sur une île toscane, il verra s'accumuler orages et périls, défiler sa vie et se jouer son avenir.
Réflexion sur l'identité mais aussi sur l'écriture, À l'encre russe, spectaculaire roman à tiroirs, marque le sacre de la reine du secret.

Mon avis : 
Une fois n'est pas coutume, je n'ai pas aimé ce livre de Tatiana de Rosnay, jusqu'ici j'avais aimé tout ce que j'avais lu d'elle. 

Nicolas a écrit son premier roman qui a connu un succès fulgurant, un film en a même été tiré. Tout le monde attend le suivant mais il n'arrive plus à écrire. Nous faisons sa connaissance lors d'un petit séjour en Italie, dans un hôtel de luxe avec sa petite amie.

Je n'ai pas du tout aimé ce personnage, tourné  vers lui-même, superficiel, vaniteux. Il est clair que le succès lui est monté à la tête, sans cesse il fait des recherches avec son nom sur Google. Il a beaucoup changé, il a coupé les ponts avec son meilleur ami, il est assez imbuvable avec les femmes.

Un petit quart du livre parle d'un secret de famille qui nous sera révélé petit à petit.  C'est pour en connaître les tenants et les aboutissants que j'ai terminé ce livre en vitesse accélérée +++.

Une très grosse déception.

 

 Livre issu de ma 

     

Catégorie matière

 

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19 avril 2014 6 19 /04 /avril /2014 22:08

                                       

Quatrième de couverture : 
L'appareil photo autour du cou, je les regarde errer derrière la cataracte qui voile leurs cerveaux. Douze ans, parfois moins, ils ont l'oeil vitreux des vieux, ils ont vécu, c'est-à-dire assez souffert, ne veulent plus voir ni être vus.

Autour de leurs bouches les sacs plastiques gonflent, rond, laiteux dans la lumière des phares, les halos des lampadaires, puis se rétractent, vides, réduits à une peau qu'un coup d'ongle suffirait à percer comme les mauvais préservatifs qu'on leur glisse dans la main, une fois la pochette déchirée d'un coup de dents et recrachée par terre, pour qu'ils la déroulent sur le sexe en érection d'un homme dont ils ont déjà oublié le visage, passant, chauffeur de taxi, client d'un hôtel, d'ici ou d'ailleurs un sexe en latex couleur blanc d'oeuf, et eux ce plastique blanc d'oeuf collé au visage.

Mon avis : 
Un photographe raconte Manille, les enfants, le sexe, la drogue avec les sacs plastiques qui ressemblent à des méduses.

Je classe ce livre dans la catégorie "J'ai bien aimé" mais cela me gêne un peu. J'ai bien aimé l'écriture mais c'est un texte très dérangeant sur un sujet révoltant.

Les images se forment devant les yeux du lecteur, avec parfois l'aide des dessins.

Voici un texte très court et percutant qui met mal à l'aise.

 

L'avis de Jérôme.

 

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17 avril 2014 4 17 /04 /avril /2014 22:06

                                             

Quatrième de couverture :
Sa femme lui a dit un soir : «Je n'ai plus de désir pour toi.»
Le lendemain, elle partait avec leur petite fille de six ans, Marilou. Le choc, terrible, le projette quatre ans en arrière, lors de la disparition de sa mère.
Présent et passé se téléscopent. Dans la touffeur de l'été, René Frégni ne dort plus, son cœur bat trop fort, écrase tout. C'est un homme foudroyé qui se débat, qui s'accroche aux mots pour ne pas se pendre. Un hymne d'amour à toutes les amoureuses.

Mon avis : 
René Frégni, l'auteur, est quitté par la femme avec laquelle il vivait depuis vingt ans, ils ont une petite Marilou de six ans.

Ce livre nous parle d'amour et de douleur. D'amour filial, d'amour paternel.
Les chapitres alternent les moments  qu'il passe avec sa fille après la séparation et les souvenirs sur la fin de vie de sa mère cinq ans auparavant.

Quelle belle déclaration d'amour filial ! Certains passages de ce livre sont vraiment très émouvants. Les parties où il parle de sa maman sont celles que j'ai préférées. 

Ce livre est vraiment un très beau texte, René Frégni sait très bien faire passer une palette de sentiments différents.

C'est amusant de lire un livre d'un auteur après l'avoir rencontré, j'avais l'impression de l'entendre parler.

J'ai maintenant très envie de lire d'autres titres (Chouette, Sylire m'en a envoyé deux).

 

J'ai découvert cet auteur grâce à Sylire. Merci ! 

 

Livre issu de ma 

    

Catégorie couleur

 

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 22:03

                                          

Quatrième de couverture :
« D’abord, je vais vous raconter le hold-up que nos parents ont commis. Ensuite les meurtres, qui se sont produits plus tard. »
Great Falls, Montana, 1960. Dell Parsons a 15 ans lorsque ses parents braquent une banque, avec le fol espoir de rembourser un créancier menaçant. Le hold-up échoue, les parents sont arrêtés, et Dell a désormais le choix entre la fuite et l’orphelinat. Il traverse la frontière et trouve refuge dans un village du Saskatchewan, au Canada. 

Il est alors recueilli par le propriétaire d’un hôtel, Arthur Remlinger, qui le prend à son service. Charismatique, mystérieux, Remlinger est aussi recherché aux États-Unis... C’est la fin de l’innocence pour Dell qui, au sein d’une communauté pour qui seule compte la force brutale, cherche son propre chemin. Canada est le récit de ces années qui l’ont marqué à jamais. Ce roman, d’une puissance et d’une beauté exceptionnelles, marque le retour d’un des plus grands écrivains américains contemporains.Bien loin de tempérer la sourde violence du roman de Richard Ford, l’interprétation maitrisée de Thibault de Montalembert en exalte la démesure sans sacrifier la subtilité des échos qu’elle trouve dans les sentiments humains.

Mon avis : 
Avec ce livre, j'ai expérimenté une nouvelle impression avec un livre audio : l'ennui.... après quelques chapitres j'ai même commencé à zapper, à passer au chapitre suivant directement, puis de chaptire en chapitre je me suis dit que cela ne servait à rien de continuer.

L'auteur met en place tous ses personnages, il raconte leur vie, rien de palpitant même s'il est vaguement question d'un hold-up. J'ai trouvé que c'était loooonnng et mou. Je n'ai pas accroché du tout.

Je fondais des espoirs sur le lecteur car j'avais entendu dire qu'il était bon, il l'est sûrement mais ici sa façon de lire est soporifique à mon goût.

Ce n'était clairement pas une lecture pour moi. Tant pis.

 


avec EnnaSylire
        Mrs BValérie


       Catégorie lieu

 

   

        Chez Valérie

 

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13 avril 2014 7 13 /04 /avril /2014 22:05

                                                 

Quatrième de couverture :
Début des années 60. Suite à la mort de leur père, deux frères, Fabio et Giovanni, sillonnent les routes au volant d'une Fiat 500. Leur voyage, émaillé de disputes et de silences, de souvenirs et de rencontres, les conduira jusqu'à leur Italie natale, quittée depuis des années. Par bribes, le portrait de leur père se recompose et les amène à mettre en lumière leurs relations tumultueuses...

Mon avis : 
Fabio et Giovanni, deux frères, partent en Italie pour un retour aux sources, comme prima = comme avant.

Les retrouvailles entre les deux frères sont plutôt fraîches, ils ne se sont pas vus depuis 10 ans. Fabio a trempé dans des mauvais coups et a un air revêche. Giovanni c'est le petit frère qui veut ramener le grand dans leur pays.

Les retrouvailles sont houleuses et il règne une forte tension dans la petite Fiat. Petit à petit ils vont se rapprocher.

J'ai beaucoup aimé l'évolution du personnage de Fabio tout au long de l'histoire. Certains passages sont très forts et d'autres font sourire.

Une sacrée belle histoire de famille.

Les dessins sont vraiment sympa, j'ai juste un tout petit peu de mal avec les visages. Certaines images sont très bien trouvées, notamment un passage avec des draps qui sèchent sur un fil à linge.

Une bien belle découverte !
 

De cet auteur j'avais déjà aimé Pourquoi j'ai tué Pierre et Je mourrai pas gibier mais mon préféré est maintenant Come prima.

 

BD reçue grâce à l'opération de Priceminister : La BD fait son festival. Ma note est de 16/20

 

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 22:01

                                                

Quatrième de couverture :
Amanda O'Toole, soixante-quinze ans, a été retrouvée morte à son domicile, les quatre doigts de la main droite minutieusement amputés. Bien que Jennifer White, sa voisine, soit sa meilleure amie, c'est sur elle que se portent tous les soupçons : elle s'est disputée avec Amanda peu avant sa mort et son passé de chirurgien orthopédiste la désigne comme l'auteur de ce meurtre.

Mais Jennifer est atteinte de la maladie d'Alzheimer et ne sait pas elle-même si elle est coupable. 

Du brouillard de sa conscience tour à tour lucide et confuse émerge le récit du drame et les figures de tous ceux qui y sont mêlés : sa fille, Fiona, et son fils, Mark, ambigu comme son père, Amanda, bien sûr, ou encore Magdalena, la garde-malade dévouée mais qui a enfoui certains secrets, elle aussi.
Est-ce Jennifer qui a tué Amanda et lui a ainsi mutilé la main ? Pour quelle raison ? Finira-t-elle par retrouver dans sa mémoire malade des révélations sur ce crime ? Avec une personnalité aussi imprévisible et tourmentée, la vérité ne peut être simple.

 

Mon avis : 
Jennifer, chirurgienne orthopédiste renommée, est atteinte de la maladie d'Alzheimer, elle est soupçonnée d'avoir tuée son amie Amanda et de lui avoir tranché quatre doigts. Mais où est la vérité puisque Jennifer n'est pas capable de se souvenir de ce qu'elle fait.

La recherche du coupable n'apparait qu'en toile de fond de ce roman dans lequel on découvre plutôt la maladie de Jennifer ainsi que son évolution.

J'ai beaucoup aimé ce livre, je me suis vraiment attachée à Jennifer, celle-ci est en général très lucide sur son passé et par intermittence sur son présent.

"Et j'ignore les deux femmes dans ma cuisine, deux êtres parmi la multitude envahissante de ces étrangers que je connais à peine, qui prennent leurs aises dans ma maison, avec ma personne." p .131

Cette maladie entraîne de réelles difficultés de communication et complexifie sérieusement les relations familiales. Le lecteur découvre petit à petit quelle fut la vie de Jennifer, ses relations avec Amanda la victime ainsi qu'avec les membres de sa famille.

"J'essaie de suivre le nouveau conseil affiché dans la cuisine : Profitez du moment J'y suis bien obligée. Je n'ai plus d'autres choix maintenant." p.141

Cette maladie c'est "la mort de l'esprit", qu'il doit être difficile d'apprendre plusieurs fois la mort d'un proche !  

Jennifer a aussi des éclairs de lucidité qui lui permettent parfois des vrais échanges avec d'autres.

"Certaines choses demeurent. Je fais ce que Carl, mon ami neurologue, suggère et je fouille ma mémoire. Vois ce qui émerge, dit-il. Vois où ça t'emmène. Entraîne tes neurones." p.175

En revanche, certaines personnes se confient à Jennifer pour se soulager car ils savent qu'elle va oublier.

Certains passages sont cocasses malgré tout et m'ont fait sourire, comme certains résidents de mon travail me font parfois sourire, je leur trouve un côté attendrissant. Evidemment ce ne sont pas des membres de ma famille et cela ne doit pas du tout faire le même effet, j'en suis bien consciente.

Je suis très contente de cette découverte, un très bon moment de lecture !

 

L'avis de Mrs B.

 

      Livre prêté
       par 
Enna.
        Merci !       

  

 

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