13 mars 2014 4 13 /03 /mars /2014 23:02
Résumé : 
Après un mariage scandaleux, Lord Montbarry décède en voyage de noces dans un hôtel à Venise. Malgré les circonstances troubles, une enquête diligentée par les assurances ne trouve rien de suspect...
Mais alors, pourquoi la veuve Montbarry semble sombrer dans la folie, comme sous le poids d'un secret terrible ?...

Mon avis : 
J'ai choisi mon classique du mois en fonction de son nombre de pages je l'avoue, je n'aime pas trop lire des pavés en période de travail. 193 pages en numérique, c'était parfait.

La mise en route de cette histoire mystérieuse se fait tranquillement, l'auteur nous fait découvrir tous les protagonistes plus ou moins impliqués. Au départ, tout se passe en Angleterre mais une mort et une disparition s'étant déroulées à Venise c'est là-bas que l'histoire va s'accélérer et y trouver sa conclusion.

On ne se rend qu'assez tardivement dans l'hôtel hanté et il m'a fait vivre quelques passages légèrement angoissants mais pas trop.

Au final, c'est une histoire bien menée avec une fin à laquelle je ne m'attendais pas.

De cet auteur j'ai déjà lu La dame en blanc (avant le blog), Sans nom et Une belle canaille.

 

 Livre issu de ma 

    numérique 

Catégorie bâtiment

 

  

 

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 23:07
Quatrième de couverture :
Angleterre, 1972. Byron Hemmings, onze ans, apprend de la bouche de son meilleur ami que deux secondes vont être ajoutées au temps, afin de faire coïncider l'heure officielle avec la rotation réelle de la Terre. Cela le terrifie. Toucher au temps n'est-il pas extrêmement dangereux ?

En petit garçon responsable, il écrit à la BBC, à la Nasa, à son député... Mais personne ne semble prendre la mesure du danger.
Lorsqu'il voit l'aiguille des secondes de sa montre reculer, il se jette sur sa mère, Diana, pour qu'elle en soit témoin. Celle-ci, au volant, a un instant d'inattention.

Et l'irréparable se produit...
La vie parfaite construite par Diana s'effondre peu à peu. Qui en est le véritable responsable ? La fatalité ? Le hasard ? Ou ces deux secondes qui n'auraient jamais dû exister ?
Fragilité des êtres, de l'existence, mais aussi rédemption par l'amitié et l'amour, tels sont les thèmes abordés dans ce texte tendre et poétique.

Mon avis : 
J'ai accepté de recevoir ce livre proposé par les Editions XO car j'avais bien aimé
"La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva un mardi". 

Grosse déception ! Le principe de départ est pourtant sympa : est-ce que deux secondes peuvent changer quelque chose dans nos vies ?  
Byron, onze ans, en est persuadé et quand l'évènement se produit, il se passe vraiment quelque chose.

J'ai trouvé que l'histoire tournait un peu en rond, c'est très long à démarrer et il ne se passe pas grand chose. On découvre bien sûr la vie de Byron et de sa famille, la tyrannie du mari, l'admiration de Byron pour sa mère.

D'un autre côté, on fait connaissance avec Jim qui habite un camping car, il est vraiment très particulier, il a de nombreux TOC, au départ on ne sait pas trop qui il est. Les chapitres avec Jim sont mes préférés.

Bref, j'ai hâte de lire d'autres avis pour savoir si je suis la seule à m'être ennuyée.

L'avis de Keisha.

Merci aux Editions XO.

 


  Catégorie moment/temps

 

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11 mars 2014 2 11 /03 /mars /2014 23:06
Quatrième de couverture :
Une ode à la vie ! Des personnages en quête de bonheur ! Un récit de plus de cent pages, magnifique d’humanité, par un duo d’auteurs en état de grâce !

Ancrant leur récit dans une petite ville de la Sarthe, Pierre Makyo, la plume, et Frédéric Bihel, le pinceau, se jouant des faux-semblants et se riant des simulacres, misent avec bonheur sur la féconde et bienveillante humanité de leurs personnages. Au point qu’on aimerait bien, ou plus souvent, leur ressembler…

Mon avis : 
Un grand merci à la bibliothécaire qui a mis un coup de cœur à cette BD car c'est grâce à celui-ci que je l'ai choisie.

Franck qui est scénariste est assez proche de Léonard, qui est simple d'esprit. Celui-ci dit toujours les mêmes phrases : "Tu l'as pas vu celle que je cherche ?" ou alors  'Ca se passe, ça se passe". 

Au fil de l'histoire Franck va chercher et trouver des réponses aux questions qu'il se pose sur Léonard et ses origines.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette histoire, les dessins, les personnages, les relations entre eux. Léonard est attendrissant et j'ai aimé la façon dont Franck s'attache à lui. D'autres personnages gravitent autour d'eux et j'ai tout aimé dans cette histoire.

Les réponses viendront petit à petit et c'est vraiment bien mené.

Une bien belle BD ! 

 

L'avis de Jérôme.

 

Livre emprunté à la 
     images.jpg
 
     Pays de la Loire

 

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10 mars 2014 1 10 /03 /mars /2014 23:05

Quatrième de couverture :
Au seuil de sa fin de vie, Bjarni – fermier islandais – décide de rompre le silence et d’écrire une longue lettre à son grand amour perdu, Helga, sa belle voisine. Il y raconte l’existence qui s’est écoulée, de l’après-guerre à nos jours, les temps qui changent, la solitude glacée, mais surtout livre le secret d’une âme simple et le regret qui la torture : n’avoir pas su rompre avec son mode de vie immémorial en fuyant avec elle à Reykjavík.


 

Bouleversante, brûlante et souvent drôle, cette Lettre à Helga est aussi prétexte à l’évocation d’un monde révolu : celui d’une vie paysanne traditionnelle islandaise qu’anime une âme pétrie de lectures bibliques et de légendes, entre mer et glace. Un roman épistolaire rafraîchissant et grave à la fois.
Rufus interprète La Lettre à Helga en usant de toutes les facettes de son immense talent, mélange de mélancolie et de passion brûlante.

Mon avis : 
J'ai lu ce livre dans sa version papier il y a quelques mois, je n'avais pas été conquise par ma lecture, vous pouvez lire mon avis ici

Pour ne pas me répéter, je ne vais évoquer que mes impressions différentes par rapport à ma première lecture. 

Rufus est un bon lecteur, sa voix est agréable à écouter en revanche j'ai trouvé la vitesse de lecture un peu lente donc un peu molle. C'était une lecture courte (2h54) heureusement.

Contrairement à ma première lecture, j'ai été émue par le récit de la stérilité de la femme de Bjarni, il est clair que ce problème a brisé leur couple. Ce passage est vraiment très touchant.

Bjarni a le regret de ne pas avoir fui avec Helga et avec la lecture audio j'ai vraiment senti que cela lui pesait alors que cela m'avait laissée indifférente dans la version papier.

Je ne suis pas vraiment étonnée de ne pas être plus enthousiaste car ma première découverte était une grosse déception.

 

 


     avec Sylire, Leiloona
      et Saxaoul
 

Catégorie objet

 

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5 mars 2014 3 05 /03 /mars /2014 23:06
Quatrième de couverture : 

« La crise. On ne parlait que de ça, mais sans savoir réellement qu’en dire, ni comment en prendre la mesure. Tout donnait l’impression d’un monde en train de s’écrouler. Et pourtant, autour de nous, les choses semblaient toujours à leur place. J’ai décidé de partir dans une ville française où je n’ai aucune attache, pour chercher anonymement du travail… J’ai loué une chambre meublée.
Ce livre raconte ma quête, qui a duré presque six mois, de février à juillet 2009. »      
Florence Aubenas

Parce qu’elle sait éviter l’emphase comme l’apitoiement, Fabienne Loriaux parvient avec talent à restituer au récit de Florence Aubenas sa percutante vérité.

Mon avis : 
Ce livre ne m'avait pas du tentée à sa sortie, je craignais qu'il soit trop journalistique. Ce n'est pas du tout le cas et il s'écoute comme un roman ou presque. 

La lectrice est vraiment parfaite et le ton donné est vraiment juste. 

J'ai eu le cœur serré tout au long de cette lecture pour ces femmes (essentiellement) qui ont des emplois précaires et même très précaires. Ces femmes qui ont parfois presqu'autant de temps de route que de travail effectif, dont le travail n'est pas reconnu et même franchement méprisé.
Elles ne peuvent rien dire de peur de perdre ces quelques heures de ménage, souvent tôt le matin ou tard le soir.

Florence Aubenas a pris le parti de l'immersion totale et on sent un grand attachement et un grand respect envers toutes les personnes rencontrées. Elle le dit très bien d'ailleurs dans l'entretien à la fin de ce livre audio.

A l'écoute de ce livre, je me suis souvent dit Mais de quoi se plaint-on ? Je me suis aussi sentie très privilégiée avec mon contrat reconduit à nouveau pour un an dans des conditions de travail qui n'ont rien à voir avec celles rencontrées dans ce livre.

Ma conclusion sera : Bravo à Florence Aubenas !

 

 Livre prêté
  par Enna.
        Merci !       


          Catégorie lieu
  
       Basse Normandie
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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 23:05

Quatrième de couverture (censurée par mes soins) :
(...) 
Malo a un mauvais pressentiment. Depuis leur arrivée au domaine de Vaux pour faire les vendanges, Octave, le maître des lieux, regarde sa sœur Camille d'un œil insistant. Le jeune homme voudrait quitter l'endroit au plus vite, partir loin de cette angoisse qui ne le lâche plus.

Camille trouve ses inquiétudes ridicules, mais Malo n'en démord pas. 

L'étrange fascination d'Octave pour Camille, pour ses cheveux d'un blond presque blanc, le met mal à l'aise. Camille, elle, oscille entre attirance et répulsion envers cet homme autrefois séduisant, au visage lacéré par une vieille blessure.
(...) Mais leur reste-t-il une chance de sortir vivants de ce domaine, ou le piège est-il déjà refermé ?

 

Mon avis : 
Après un début assez percutant il faudra attendre la fin du livre pour avoir à nouveau un peu d'action.

Toute la tension de cette histoire se trouve dans l'ambiance particulière de cette exploitation en période de vendanges. Octave, le propriétaire, est un personnage inquiétant, Andréas se cache, ils font une fixation sur la jeune Camille.

Au final j'ai trouvé que c'était un peu lent mais quand même prenant.

J'ai préféré Nœuds d'acier du même auteur, je l'ai trouvé plus rythmé et avec une fin plus surprenante. 
 

L'avis de Canel.

 

Livre emprunté à la 
     images.jpg
 
       Catégorie matière
  
Champagne-Ardennes

 

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3 mars 2014 1 03 /03 /mars /2014 17:39

                                

Aujourd'hui à 15h03 j'étais au travail !!!! Dans le bureau vitré dans lequel je me trouve le lundi, le mercredi et le vendredi. Je vous accorde que cela fait un peu aquarium. Mais je l'aime bien ce petit bureau car il y a un peu de passage. Les résidents de la maison de retraite qui se déplacent, des collègues, parfois il y a mêmes des animations dans le jardin intérieur qu'on voit au loin.          

Que faisiez-vous le 03/03 à 03h03 (15h03) ?
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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 23:05
Quatrième de couverture :
Fabien est agent de surveillance au Louvre.
Il aime son métier.
Depuis quelques semaines, il aime aussi Mathilde. Celle-ci décide d'aller présenter son ami à sa famille, le clan Benion, comme elle l'appelle.
Puisqu'ils ont désormais sous la main un «expert», les Benion tiennent absolument à soumettre à Fabien un tableau qui moisit dans le grenier depuis des décennies, et qui a été peint par l'aïeul Gustave. Une pauvre toile représentant un chien qui louche.

La question des Benion est claire : Le Chien qui louche a-t-il droit au Louvre ? Dans un premier temps, n'osant pas décevoir sa (presque) belle-famille, Fabien ne fournit pas de réponse catégorique... 
Il aurait dû.

Mon avis : 
Etienne Davodeau est pour moi un auteur bien ancré dans la réalité, les différentes BD que j'ai lues en témoignent : Rural, Les ignorants, Lulu femme nue, Les mauvaises gens, Le constat, Chute de vélo.

Cette fois-ci c'est une histoire qui démarre dans le réel mais qui devient vite assez loufoque. Le chien qui louche est une œuvre d'art que les héritiers du peintre aimeraient voir au Louvre. Eclat de rire quand j'ai découvert cette peinture !!!!!! de toute bôôôté, je ne vous dis que ça. 

Les héritiers sont la future belle-famille de Fabien qui est gardien au musée du Louvre, ils sont bien lourds, l'auteur ne les a pas loupés. 

Les dessins des œuvre présentes au Louvre sont vraiment très beaux

J'ai lu cette BD le sourire aux lèvres et j'ai passé un bon moment.

Les avis de Jérôme, Gambadou, Saxaoul, A propos de livres et Laure.

 

BD du club de lecture
   avec mes copines

       


     Catégorie animal
  
       Ile de France

 

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 23:08
Quatrième de couverture :
Août 1936, en Espagne, on assassine Garcia Lorca, accusé de sympathie républicaine. Août 2011, à Marseille, on découvre le corps calciné d'une femme, abandonné entre les rails. Entre ces deux morts, s'écrivent les tragédies du vingtième siècle, les secrets d'État, les coulisses de la démocratie espagnole naissante et la passion dévorante d'une jeune femme pour l'ombre du poète...

Entre ces deux âmes suppliciées, un pacte étrange, bien au-delà du temps, va profondément bousculer la nouvelle enquête de la commissaire Aïcha Sadia...

Émouvant, tragique, attachant, à fleur de peau et diaboliquement crescendo...

Mon avis : 
Ce livre m'a fait voyager entre la France et l'Espagne, entre Marseille, Pau, Madrid, Grenade. Les protagonistes de cette histoire font beaucoup de route. 

Quel rapport entre des évènements se déroulant à Grenade en 1936 et à Marseille en 2011 ? Jusqu'au bout de l'histoire l'auteur ne nous dévoilera pas tout, quand on pense savoir il y a encore du nouveau, encore des surprises. 

Une lecture agréable car bien rythmée, sans temps mort mais avec beaucoup d'inattendu. 

De cet auteur j'avais déjà aimé Djebel qui est consruit un peu selon le même principe, des liens entre des évènements passés et d'autres qui en découlent au présent.

Livre faisant partie du prix littéraire inter-CE (Cézam).

 

Livre emprunté à la 
     images.jpg

 

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 23:07

Sur une idée de Moka

2 séances de kiné par semaine / A fond dans la lecture audio pour le prix Audiolib / Skype avec Munich / Un petit chat en tricot / Lulu femme nue au cinéma avec une amie / Crêpes pour la Chandeleur / Un dimanche matin à la chorale / Inondations et chemins boueux pour ma promenade digestive du midi / Une nouvelle unité centrale silencieuse / Portes ouvertes à l'université d'Angers / DUT Génie biologie / Préparation d'un cadeau surprise / Congés accordés / Coloc' trouvée à Munich / Une bonne raclette / Remarque du kiné sur mes collants colorés / Des frites maison / Toujours pas de sport / Peinture d'un plafond / Post-Bac x 2 / Retour du soleil / Les larmes aux yeux au boulot / Bac blanc x 2 / Tomboy sur Arte / Arc en ciel en sortant du boulot / Tarte aux pommes / Envie de vacances, plus qu'une semaine 

                               

               

       

       

 

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