31 janvier 2010
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05:20
Quatrième de couverture :
Il ne faut pas dire ce que je fais quand mon institutrice inscrit sur le tableau : raconter une soirée d'automne. Il ne faut pas écrire : La nuit qui tombe à cinq heures. Le bruit de la cocotte-minute, le bruit du mixer, la chaise vide de ma soeur, la louche pour servir la soupe, le lait que mon demi-frère verse dans la soupe pour la refroidir, le silence autour de la table. Il ne faut pas écrire : Celle qui n'est pas ma mère assise en face de moi. Le début de fou rire qui nous envahit, mon demi-frère et moi, et notre détresse qui grandit en même temps que le jour diminue. Il ne faut pas confondre l'énoncé des rédactions avec de vraies questions. Je dois inventer un monde spécialement pour le raconter à mon institutrice. J'apprends qu'on ne peut pas tout dire.
Mon avis :
Il a fallu un peu de temps pour que je m'habitue à ce livre ...... Il est écrit par petits paragraphes avec de courtes phrases. C'est l'histoire d'une petite fille de son entrée en CP jusqu'au collège. Les petits paragraphes s'enchaînent en racontant son quotidien, par petites touches. Elle a un papa, une soeur (qui n'est pas beaucoup là mais on ne sait pas pourquoi), un demi-frère et celle qu'elle appelle 'celle qui n'est pas ma mère'. C'est parfois un peu décousu mais pour finir je me suis attachée à cette petite fille et à sa vie. Elle raconte l'école, la maison, la gymnastique. Il y a du mystère dans sa vie car elle n'a pas ou plus de maman, on comprend certaines petites choses au compte-goutte mais tout ne sera pas éclairci à la fin du livre. Elle n'a pas l'air très malheureuse mais pas très heureuse non plus alors elle se raccroche à l'école et elle apprend. Un livre tout en sensibilité.
Sylvie l'a trouvé simple et vrai.
Livre issu de ma PAL
Il ne faut pas dire ce que je fais quand mon institutrice inscrit sur le tableau : raconter une soirée d'automne. Il ne faut pas écrire : La nuit qui tombe à cinq heures. Le bruit de la cocotte-minute, le bruit du mixer, la chaise vide de ma soeur, la louche pour servir la soupe, le lait que mon demi-frère verse dans la soupe pour la refroidir, le silence autour de la table. Il ne faut pas écrire : Celle qui n'est pas ma mère assise en face de moi. Le début de fou rire qui nous envahit, mon demi-frère et moi, et notre détresse qui grandit en même temps que le jour diminue. Il ne faut pas confondre l'énoncé des rédactions avec de vraies questions. Je dois inventer un monde spécialement pour le raconter à mon institutrice. J'apprends qu'on ne peut pas tout dire.
Mon avis :
Il a fallu un peu de temps pour que je m'habitue à ce livre ...... Il est écrit par petits paragraphes avec de courtes phrases. C'est l'histoire d'une petite fille de son entrée en CP jusqu'au collège. Les petits paragraphes s'enchaînent en racontant son quotidien, par petites touches. Elle a un papa, une soeur (qui n'est pas beaucoup là mais on ne sait pas pourquoi), un demi-frère et celle qu'elle appelle 'celle qui n'est pas ma mère'. C'est parfois un peu décousu mais pour finir je me suis attachée à cette petite fille et à sa vie. Elle raconte l'école, la maison, la gymnastique. Il y a du mystère dans sa vie car elle n'a pas ou plus de maman, on comprend certaines petites choses au compte-goutte mais tout ne sera pas éclairci à la fin du livre. Elle n'a pas l'air très malheureuse mais pas très heureuse non plus alors elle se raccroche à l'école et elle apprend. Un livre tout en sensibilité.
Sylvie l'a trouvé simple et vrai.
Livre issu de ma PAL