3 février 2020 1 03 /02 /février /2020 19:31

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Quatrième de couverture : 
Lorsque Sarah rencontre Théo, c’est un choc amoureux. Elle, l’écorchée vive, la punkette qui ne s’autorisait ni le romantisme ni la légèreté, se plaisant à prédire que la Faucheuse la rappellerait avant ses 40 ans, va se laisser convaincre de son droit au bonheur par ce fou de Capra et de Fellini.

Dans le tintamarre joyeux de leur jeunesse, de leurs amis et de leurs passions naît Simon. Puis, Sarah tombe enceinte d’une petite fille. Mais très vite, comme si leur bonheur avait provoqué la colère de l’univers, à l’euphorie de cette grossesse se substituent la peur et l’incertitude tandis que les médecins détectent à Sarah un cancer qui progresse à une vitesse alarmante. Chaque minute compte pour la sauver. 

Le couple se lance alors à corps perdu dans un long combat, refusant de sombrer dans le désespoir.

Un récit d’une légèreté et d’une grâce bouleversantes, entre rire et larmes, dont on ressort empreint de gratitude devant la puissance redoutable du bonheur.

Mon avis : 
Quel livre !

Je savais en l'ouvrant que le sujet n'était pas facile, le personnage de Sarah nous l'annonce d'ailleurs d'emblée : elle va mourir.
C'est un roman mais je savais aussi via les réseaux sociaux que l'auteur avait vécu la même épreuve et cela m'avait suffisamment marquée à l'époque pour que je m'en souvienne.

Même si la mort rôde tout au long du livre c'est pourtant une histoire de vie, d'amour, d'espoir, de courage, de solidarité, c'est magnifique !

J'ai souri, j'ai frémi, j'ai pleuré, et les personnages vont m'accompagner pendant un certain temps c'est sûr.

Un très beau premier roman qui valait bien que je sorte de ma tanière.

Merci à Babelio et surtout à l'auteur !

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8 décembre 2018 6 08 /12 /décembre /2018 15:09

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Quatrième de couverture :
« Je n'ai pas grand-chose dans la vie mais j'ai des histoires. Je rencontre des gens couchés ou en fauteuil roulant, des existences qui interrogent mon humanité. 
Ces questions, je les partage avec d'autres patients. 
Je tricote entre elles des destinées humaines. » 

Dominique Mermoux adapte ici, avec beaucoup de sensibilité de drôlerie, Alors voilà, les 1001 vies des urgences, les histoires racontées par Baptiste Beaulieu lorsqu'il était médecin urgentiste. Un bloc d'humanité.

 

 

 

Mon avis : 
Quelle chouette BD ! qui fait la part belle à l'humain, qui permet de se rendre compte du vécu des médecins urgentistes avec leur rythme de vie irrégulier, avec des situations complexes mais aussi de belles rencontres.

Baptiste Beaulieu, interne aux Urgences, est sensible à la bientraitance, sensible à l'autre, à chacun, pas seulement ses patients mais également ses collègues.

Baptiste Beaulieu nous raconte de multiples anecdotes, avec des jeunes, des personnes âgées, des simulateurs, des gens qui souffrent,  des femmes battues, des gens délaissés par leur famille, des parents inquiets... et tant d'autres...

Il y a aussi une sorte de fil rouge avec le lien particulier qu'il crée avec une patiente en soins palliatifs en lui racontant des histoires, elle attend son fils et ne veut pas mourir avant son arrivée.

Beaucoup de douleur, de souffrance mais j'ai aussi souri et même éclaté de rire à certains passages vraiment drôles.

Je suis vraiment très contente de cette découverte !

Geneviève si tu me lis tu devrais aimer toi qui est une fidèle du blog "Alors voilà" de Baptiste Beaulieu.

 

BD empruntée à la

 

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11 novembre 2018 7 11 /11 /novembre /2018 09:13

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Quatrième de couverture :
« Jamais je n'aurais imaginé que ça m'arriverait, et je me rends compte que n'importe qui peut devenir un "réfugié"... Il suffit que ton pays s'écroule. Soit tu t'écroules avec, soit tu pars. » 

L'histoire vraie d'Hakim, un jeune Syrien qui a dû tout quitter : sa famille, ses amis, sa propre entreprise, son pays.,, devenant ainsi « réfugié ». 

Parce que la guerre éclatait, parce qu'on l'avait torturé, parce que le pays voisin semblait pouvoir lui offrir un avenir et la sécurité. 

Un témoignage puissant et touchant sur ce que c'est d'être humain dans un monde qui oublie parfois de l'être.

 

 

 

Mon avis : 
J'ai un peu honte de dire que je ne connais pas l'histoire de la Syrie et que je n'aurais sans doute pas choisi cette BD si l'auteur n'était pas Fabien Toulmé...

J'adore ce que fait cet auteur !!!!!! Et cela continue avec cette belle BD.

Comme d'habitude c'est empli d'humanité et on retrouve bien la patte de l'auteur. De plus, j'en ai beaucoup appris sur le pourquoi de cette guerre en Syrie. 

L'histoire d'Hakim est poignante, intéressante et terriblement d'actualité. Je me suis surprise à avoir les larmes aux yeux sans m'y attendre.

Une BD de plus de 250 pages que j'ai lue presque d'une seule traite ce dimanche matin alors que toute la maison dormait encore.

Un coup de cœur que je publie aussitôt et qui passe devant mes quelques avis déjà prêts qui patienteront un peu.

J'ai beaucoup aimé Les deux vies de Baudoin (ici) après avoir eu un coup de cœur pour Ce n'est pas toi que j'attendais (ici)

Après quelques recherches pour savoir quand sortira le tome 2 j'ai trouvé ma réponse ici ! J'ai hâte !!!!!!!! Et je pense qu'en attendant j'achèterai le tome 1 car quand on aime on ne compte pas 

BD empruntée à la

 

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2 novembre 2018 5 02 /11 /novembre /2018 17:02

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Quatrième de couverture :
Comment, au fil de hasards qui n'en sont pas, Ambroise, le thanatopracteur amoureux des vivants et sa grand-mère Beth vont rencontrer la jolie Manelle et le vieux Samuel, et s'embarquer pour un joyeux road trip en corbillard, à la recherche d'un improbable dénouement... 
Un conte moderne régénérant, ode à la vie et à l'amour des autres. Tout lecteur fermera heureux, ému et réparé, ce deuxième roman qui confirme le talent de Jean-Paul Didierlaurent.

 

 

 

Mon avis : 
Comme souvent j'ai à nouveau été touchée par cette histoire avec des personnes âgées. Mais aussi deux jeunes bien sympathiques.

J'ai été embarquée dans ce roman dès le début et je ne l'ai plus lâché du week-end. 

J'ai adoré les relations tendres qui existent entre Beth et Ambroise, entre Manelle et Samuel. 

L'auteur aborde également le sujet de la fin de vie mais aussi après la mort grâce au métier d' Ambroise très bien expliqué.

Un excellent petit roman bien trop vite lu, j'aurais aimé qu'il dure encore un peu.

J'avais déjà beaucoup aimé Le liseur du 6h27 (ici)

Roman emprunté à la

 

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10 octobre 2018 3 10 /10 /octobre /2018 16:42

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Mon avis : 
Quel roman !!!!!

J'ai été accrochée dès le début et pour cause, ça commence fort et même très fort.
Je ne savais presque rien de ce roman avant de le commencer sinon qu'il se passait dans la jungle de Calais. Voilà c'est suffisant ! et la quatrième de couverture est très brève : "Adam a découvert en France un endroit où l'on peut tuer sans conséquences"

L'auteur est allé dans la jungle de Calais, mais il a aussi rencontré les policiers, les journalistes, les calaisiens....
Alors c'est un roman, certes, mais tout est réel, seule l'enquête de police est romancée et il l'annonce en préambule à son roman.

J'avoue que j'ai appris beaucoup en lisant ce roman. L'auteur ne nous épargne rien des faits révoltants, de la souffrance, du manque d'humanité.
Certains passages sont vraiment très très émouvants. 

Je ne peux que vous conseiller de le lire !

"A lire d'urgence !" comme c'était indiqué sur la couverture par une bibliothécaire. Et c'est tout à fait ça.

Roman emprunté à la

 

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22 septembre 2018 6 22 /09 /septembre /2018 16:17

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Quatrième de couverture : (censurée par mes soins)
Nathalie est écrouée à la prison pour femmes de ***, condamnée à une longue peine. Mais un jour, invitée par le club de lecture de la maison d'arrêt, Valérie, une romancière à succès, vient y présenter son dernier livre. Et cette rencontre va changer le cours de leur vie. 

(...) Tout sépare a priori ces deux femmes, dont l'une est une mère de famille divorcée, l'autre célibataire. (...) 

Roman sur le secret, l'attirance née des souffrances refoulées, Une femme entre deux mondes fait miroiter l'espoir d'une renaissance.

Mon avis : 

 

 

 


J''ai commencé ce livre avec l'envie de l'aimer et surtout un a priori très positif car j'avais déjà eu un coup de cœur pour Une femme blessée (ici) qui était le premier roman de l'auteur.

Deux femmes, deux mondes puis deux femmes et deux mondes qui interfèrent l'un avec l'autre.
Une femme emprisonnée, une femme "libre". Nathalie, Valérie.
Une relation forte va se créer entre elles.

Marina Carrère d'Encausse a vraiment une plume très agréable.
J'ai aimé que ce ne soit pas un pavé, qu'elle aille à l'essentiel avec sensibilité et surtout j'ai aimé ses personnages.
Une histoire très touchante et un roman qui se dévore.

Vivement le prochain !

L'avis de Manika (ici) paru le jour où je commençais ce roman

Livre emprunté par une amie et qui transite chez moi
avant son retour à la bibliothèque

 

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4 décembre 2017 1 04 /12 /décembre /2017 17:31

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Quatrième de couverture (du tome 1 car celle du tome 2 raconte la fin premier volume...)
« L'amour ne se vole pas. L'amour ne s'achète pas. L'amour se mérite. » 

Lorsque Qinaya, une orpheline péruvienne de 4 ans, est adoptée par une famille française, c'est la vie de tous qui est chamboulée. Les parents essaient de lui faire oublier le drame qu'elle a vécu, Marsyse se découvre un caractère de mamie gâteau et les amis du couple apprivoisent doucement cette petite qui s'adapte à sa nouvelle vie. Mais pour Gabriel, ce sera bien plus compliqué : il lui faudra apprendre à devenir grand-père, lui qui n'a jamais pris le temps d'être père. 

Des premiers contacts distants aux moments partagés, Gabriel et Qinaya vont peu à peu nouer des liens que même le vieux bourru était loin d'imaginer.

 

 

 

 


Mon avis : 
L'adoption... vaste sujet ... dans cette BD le sujet est vu plutôt du côté des grands-parents car c'est toute la famille qui est concernée par une adoption.

Ici, le grand-père a du mal à accepter et accueillir la petite Qinaya, sa femme le taquine car elle le connaît bien. Son groupe de copains "Les Gégés" sont drôles et ils accueillent Qinaya sans problème.

La couverture du tome 1 reflète très bien la perplexité du grand-père face à cette toute petite fille.

Et puis la relation entre le grand-père et Qinaya se tisse petit à petit, c'est beau, humain et sensible.

Je ne vais pas en dire beaucoup plus mais cette BD m'a presque fait verser une petite larme, j'y ai aussi beaucoup souri.

C'est encore mieux si on peut enchaîner les deux tomes comme je l'ai fait car à la fin du premier on a vraiment envie de continuer pour connaître la suite de l'histoire.

 

BD empruntées à la 

 

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3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 11:56

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Quatrième de couverture :
Les Fontaines. Une pierre cassée au milieu d'un pays qui s'en fiche. Un morceau du monde qui dérive, porté par les vents et les orages. Une île au milieu d'une terre abrupte. Je connais les histoires de ce village, mais une seule les rassemble toutes. 
Elle doit être entendue. L'histoire d'André, de son fils Benedict, de sa petite-fille, Bérangère. Une famille de médecins. Celle de Maxime, de son fils Valère, et de ses vaches. Une famille de paysans. Et au milieu, une maison. Ou ce qu'il en reste. 

Trois générations confrontées à l'Histoire et au fol orgueil des hommes ayant oublié la permanence hiératique de la nature. Saga portée par la fureur et la passion, Trois Saisons d'orage peint une vision de la seconde partie du XXe siècle placée sous le signe de la fable antique. Les Trois-Gueules, « forteresse de falaises réputée infranchissable », où elle prend racine, sont un espace où le temps est distordu, un lieu qui se resserre à mesure que le monde, autour, s'étend. Si elles happent un enfant, noient un vieillard dans leurs torrents, écrasent quelques ouvriers sous les chutes de leurs pierres, les villageois 
n'y peuvent rien ; mais ils l'acceptent, car le reste du temps elles sont l'antichambre du paradis. 

 

 

 

 

 

Mon avis : 
Dès le début de ce roman on sait qu'une maison a brûlé mais le lecteur doit être patient pour apprendre ce qu'il s'est passé dans ce village des Fontaines.

Cécile Coulon a vraiment une jolie plume pour me faire aimer un roman dans lequel il semble ne pas se passer grand chose. C'est d'ailleurs une erreur car la vie dans ce village est paisible mais pas du tout dénuée d'intérêt à travers les mots de l'auteur.

Tout est dans l'ambiance sans doute "Aux Fontaines, on croyait toujours que le danger venait de l'extérieur, qu'on aurait le temps de l'appréhender, personne ne se posait la question des tremblements intérieurs, des mouvements sous la surface, le soir, quand les cloches se taisaient" p. 144
Cette phrase laisse augurer que la suite ne sera pas forcément paisible, la tempête arrive, la tension monte.

Certains passages sont d'une grande sensualité, tout est suggéré, effleuré....

Et puis les personnages... les paysans, les médecins, le lien qui se crée entre ces deux mondes, tout est décrit avec finesse. 

Une bien belle lecture avec en prime un mystère  : léger spoil ***dont le secret ne sera révélé qu'à la toute fin du livre et là l'auteur m'a bien surprise.***

C'est l'avis de Canel (ici) qui a fait pencher la balance pour que je le réserve à la bibliothèque. et à qui j'ai piqué l'idée du spoil en lettres blanches.

De cet auteur j'avais déjà lu et moyennement aimé Le roi n'a pas sommeil (ici)

Livre emprunté à la 

 

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4 novembre 2017 6 04 /11 /novembre /2017 19:31

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Résumé : (censuré par mes soins)
Ben et Rose aimeraient bien que leur vie soit différente...
Ben, qui vient de perdre sa mère, regrette de ne pas avoir connu son père.
Rose rêve d'une mystérieuse actrice et collectionne dans un album les coupures de journaux retraçant sa carrière.
Un jour, Ben découvre dans la chambre de sa mère un indice qui l'intrigue.
Un jour, Rose lit dans la presse un article qui la fascine.
Dès lors, chacun part en quête de son identité dans la ville de toutes les passions : New York.
Seulement Ben vit en 1977 et Rose en 1927 ...

Ces deux histoires - celle de Ben en mots, celle de Rose en images, alternent et se répondent comme par magie, (...)
Brian Selznick nous entraîne dans un voyage passionnant, émouvant et merveilleux.

 

 

 

 

Mon avis : 
Je n'ai pas retrouvé où j'ai eu l'idée de lire ce roman et cela m'ennuie car il faut que je dise un grand merci à cette personne ! Je pensais que c'était Mrs B. mais en cherchant sur son mur FB je n'ai rien trouvé.

Ce livre jeunesse (ado) est un pavé mais il se lit aussi vite qu'un roman. En effet, une partie de l'histoire se passe sous forme de dessin.
Deux personnages principaux : Ben dont l'histoire est comme un roman et Rose dont l'histoire nous apparaît sous forme de dessins sans parole. Un roman en mots et en images.

Un beau roman, des personnages très attachants, des histoires de famille, de recherche d'un père, et une ville : New York.

Ce coup de cœur est arrivé petit à petit au fil de ma lecture. Ce roman est vraiment très original par sa forme et vraiment très touchant par son histoire.

Je l'ai commencé sans me rappeler ce que j'avais lu à son sujet et c'était parfait.
Je m'empresse de le prêter à une amie qui le rendra à la bibliothèque, j'espère qu'elle va l'aimer autant que moi.

 

Livre emprunté à la

 

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12 septembre 2017 2 12 /09 /septembre /2017 17:05

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Quatrième de couverture :
Bénévole dans une association qui s'occupe d'enfants, Lina est partie poursuivre ses études à Mou di, en Chine. Thomas, lui, enquête pour une ONG sur les disparitions d'enfants (principalement des petites filles) qui sévissent depuis des décennies dans cette région reculée. La jeune femme accepte de lui servir d'espionne sur place où elle découvre vite les ravages de la politique de l'enfant unique. Mais ses questions vont semer le trouble dans le village. 

Quand un mystérieux assassin se met à éliminer un à un tous ceux qui semblaient savoir quelque chose, elle comprend que le piège est en train de se refermer sur elle... Réseaux d'adoption clandestins, mafias chinoises, trafics d'organes, prostitution... oscillant entre passé et présent, un thriller dépaysant, remarquablement documenté, qui nous conduit au cœur d'une Chine cynique et corrompue où la vie d'une petite fille ne vaut que par ce qu'elle peut rapporter.

 

 

 

 

Mon avis : 
Méga coup de cœur !

2013 Lina, une jeune française, enquête sur les meurtres et disparitions de petites filles en Chine.

1991 Sun, une jeune chinoise, enquête aussi car elle est touchée de près par une disparition.

Nous les suivons alternativement dans cette quête sans temps mort.

En 1991, l'objectif de tout parent chinois est d'avoir un fils, s'ils ont une fille ils la font disparaître ou ne la déclarent pas mais à la naissance du fils tant attendu qu'adviendra-t-il de la fille aînée ? 
Que d'actes barbares ! que de souffrance pour les mères ! 

Ce roman est palpitant, très documenté, intéressant et révoltant jusqu'à la fin.

Environ 400 pages dévorées en un week-end ! 

Livre lu grâce à l'avis de Canel

Et voici la chanson du rappeur Orelsan qui évoque très, très bien le sujet de ce livre.

Livre emprunté à la

 

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