Quatrième de couverture : A travers le portrait pittoresque de la petite bourgeoisie parsie de Bombay, Mistry aborde, avec un regard tendre et humain, une réalité plus grave : celle du traditionalisme rigide et du fanatisme religieux. Comme dans ses précédents romans, l'auteur de L'Equilibre du monde met au service d'une vision sans complaisance de la société indienne son immense talent de conteur, son sens du cocasse et sa sympathie communicative pour des personnages naïfs, injustement malmenés par la vie. |
Mon avis :
Ouf ! J'ai enfin terminé ce livre qui ne m'a pas beaucoup plu, j'avais pourtant hâte de le lire.
Une simple affaire de famille est centrée sur une famille qui va garder le grand-père malade car les autres membres chez qui il habite n'en veulent plus tant qu'il est invalide. Je me suis lassée
de ces histoires d'urinal, de bassin et des odeurs associées ....
Certains passages sont quand même touchants notamment entre les petits-enfants et leur grand-père.
Il faut attendre les alentours de la page 200 pour enfin sortir de cet appartement et accompagner le papa au
travail ou les enfants à l'école, mais je n'étais déjà plus très intéressée par l'histoire.
L'un des principaux sujets est l'argent, entre les radins (qui ont mis le grand-père dehors) et les fauchés (qui l'ont accueilli, bien obligés...), mais aussi la corruption, les jeux
d'argent.
J'ai tellement peu aimé que j'ai vraiment du mal à en parler et je dois bien avouer que j'ai lu le dernier tiers en accéléré, j'aurais abandonné si ce livre ne faisait pas partie d'une lecture
commune.
Livre issu de ma |
Lecture commune chez Valérie et avec Tiphanie |