21 octobre 2014 2 21 /10 /octobre /2014 18:30

                                         

 

Résumé :
Saul « doc » Karoo, écrivaillon sans talent traînant une bonne dose de névroses est script doctor pour Hollywood. Sa fonction ? Massacrer les films des autres pour les rendre « commerciaux ». Quant à l’homme privé, il se délecte amèrement de son inaptitude à toute forme d’intimité comme à toute émotion spontanée. Ultime échec : son impossibilité à noyer dans l’ivresse la conscience de sa vie de raté. Jusqu’à ce qu’une occasion unique se présente à lui : à la demande d’une vieille gloire hollywoodienne, le remake d’une ancienne comédie romantique à souhait qui va l’inciter à reconsidérer son existence...

Thibault de Montalembert interprète avec maestria un Saul Karoo à la fois cynique et naïf, haïssable et pathétique, archétype d’une Amérique déboussolée.

 

Mon avis : 
Je l'avoue je n'ai écouté qu'un cinquième de ce livre audio avant de l'abandonner. Certes le lecteur est bon mais le personnage.....

Tout tourne autour de ce Karoo, antipathique, énervant qui ne parle que de lui, il est égoïste, cynique et inintéressant.

Ce livre ne me tentait pas plus que ça alors je n'étais pas prête à être indulgente avec le personnage et je ne me suis pas obstinée longtemps.

Je n'ai peut-être pas assez insisté mais je n'en avais pas envie.

 

          Livre prêté
            par Enna
                Merci !       

             

 

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27 août 2014 3 27 /08 /août /2014 16:55

                            

Résumé : 
Les Hauts de Hurle-Vent sont des terres balayées par les vents du nord. Une famille y vivait, heureuse, quand un jeune bohémien attira le malheur. Mr Earnshaw avait adopté et aimé Heathcliff. Mais ses enfants l'ont méprisé. Cachant son amour pour Catherine, la fille de son bienfaiteur, Heathcliff prépare une vengeance diabolique. Il s'approprie la fortune de la famille et réduit les héritiers en esclavage. La malédiction pèsera sur toute la descendance jusqu'au jour où la fille de Catherine aimera à son tour un être misérable et fruste. Ce roman anglais, le plus célèbre du XIXe siècle à nos jours, a été écrit par une jeune fille qui vivait avec ses soeurs au milieu des landes de bruyère. Elle ne connut jamais cette passion violente ni cette haine destructrice. Elle imagina tout, même le fantôme de la femme aimée revenant tourmenter l'orgueilleux qui l'a tuée.

 

Mon avis : 
Si j'avais lu ce livre dans la version papier je pense que j'aurais pris quelques notes pour me repérer dans les personnages ou alors le fait de lire les noms m'aurait évité d'avoir l'impression de tout mélanger (Hareton/Linton, Catherine/Cathy).
J'ai aimé la lectrice, Mélodie Richard, mais je n'étais pas assez concentrée, j'ai manqué d'attention pour bien entrer dans cette histoire qui, du coup, ne m'a pas intéressée.

Ce roman était également trop sombre pour mon état d'esprit et ma fatigue du moment (juste avant mes vacances).

Ce livre est également assez lent et long ce qui n'a pas arrangé mon impression d'ennui. Je crois vraiment que c'est ce manque de rythme qui a eu raison de mon envie d'écouter ce livre audio.

Billet archi-nul mais je ne sais même pas trop quoi en dire...
 

Les avis d'Enna et Sylire.

 

          Livre prêté
            par Mrs B.
                Merci !       

        

  

 

 

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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 22:20

                                               

 

Résumé :
« Quand je revois mon enfance, le seul fait d'avoir survécu m'étonne. Ce fut, bien sûr, une enfance misérable : l'enfance heureuse vaut rarement qu'on s'y arrête. Pire que l'enfance misérable ordinaire est l'enfance misérable en Irlande. Et pire encore est l'enfance misérable en Irlande catholique. »

Ainsi débutent les incroyables Mémoires de Frank McCourt. Né à Brooklyn en pleine Dépression, de parents irlandais récemment immigrés, il a quatre ans lorsque sa famille décide de rentrer au pays, dans les ruelles crasseuses et humides de Limerick. 
Avec des pièces de pneus de bicyclette clouées à ses chaussures en guise de semelles, une tête de cochon pour le repas de Noël et du charbon ramassé sur le bas-côté des routes pour allumer le feu du foyer, Frank supporte la plus misérable des enfances – mais survit pour raconter son histoire avec exubérance et, chose remarquable, sans la moindre rancune.

L'inoubliable récit de Frank McCourt réchauffe le coeur aussi facilement qu'il le brise. Superbement écrites, lauréates du prix Pulitzer en 1997, adaptées au cinéma par Alan Parker en 2000, Les Cendres d'Angela ont été saluées comme un véritable phénomène littéraire.

Mon avis : 
Je sais que ce livre a plu à de nombreux lecteurs, hélas je n'en fais pas partie. 
J'ai aimé le début, on va dire le premier tiers du livre qui permet de faire connaissance avec Frank et sa famille. 
J'ai ensuite trouvé que cela tournait en rond, le père boit l'argent gagné, les enfants meurent en bas âge, les logements sont insalubres, ils ont faim, et ceci inlassablement. C'est certes très touchant mais je me suis lassée.

Le père est vraiment un personnage peu recommandable, irresponsable et très antipathique "Même si Papa venait, ça ne servirait à pas grand-chose vu qu'il ne porte jamais rien, ni colis, ni sacs, ni paquets. A porter des trucs de ce genre, on perd sa dignité. C'est ce qu'il dit." p.115

Un livre que je n'ai pas choisi puisqu'il faisait partie du sac surprise sur le thème de l'Irlande. Je vais d'ailleurs pouvoir le rendre puisque j'ai tout lu, mais pas tout aimé...

 

    Livre emprunté à la

         images.jpg

      


      Catégorie prénom

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 22:26

                                               
Quatrième de couverture :
Tout condamnait Nombeko l’analphabète, née dans le ghetto de Soweto en 1960, à une vie anonyme. Mais un accident de voiture et son incroyable facilité à manier les chiffres vont la catapulter dans les hautes sphères de la politique internationale. Elle y croisera de bien singulières personnes, dont un président, un roi, mais aussi une jeune fille très en colère et d’étranges jumeaux. Elle se mettra à dos les plus redoutables services secrets de la planète pour finalement atterrir dans un camion de pommes de terre au moment où une bombe menacera l’humanité de destruction... Nombeko est bien la digne héritière de son aïeul en littérature, Allan Karlson, « 
Le Vieux… », dont elle partage le talent pour changer le cours de l’Histoire. Une nouvelle comédie signée Jonasson tirant à bout portant sur les préjugés.

Mon avis : 
Du même auteur je n'avais pas trop aimé Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire. Quand j'ai reçu ce livre audio en cadeau je n'ai pas voulu aller le changer, je me suis dit que je refaisais une tentative avec cet auteur mais j'aurais mieux fait d'aller en choisir un autre.

J'ai insisté pendant une moitié de ce livre mais vraiment je ne pouvais pas plus. La lectrice n'est pas en cause, elle remplit vraiment bien sa tâche.

J'ai arrêté d'écouter juste avant que Nombeko parte en Suède, que c'était long cette histoire de bombe et inintéressant et même en sautant des chapitres je n'ai pas pu aller plus loin.

Le personnage de Nombeko est pourtant sympa, elle est futée et sympathique. Certains passages du début m'ont fait sourire et m'ont fait penser que j'allais apprécier ce livre, hélas cela n'était que momentané.

Je regrette vraiment de ne pas avoir été échanger ce titre contre un autre, tant pis.

 

Les avis de Gambadou et Dasola.

 

        Livre issu de ma 

         

      


     Catégorie gros mot

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3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 22:05

                                      

 

Quatrième de couverture :
Martin, instituteur danois de trente-huit ans qui ressent un vide dans son existence, demande sa mutation dans la province la plus septentrionale du Danemark, le Groenland. Il prend ses fonctions dans un hameau de cent cinquante âmes : Nunaqarfik, à plus de cinq cents kilomètres au nord du cercle polaire.
Armé de ses bonnes intentions, encombré de sa mauvaise conscience coloniale et de ses idées pré-conçues, Martin découvre une communauté solidaire, dont la vie s'organise en fonction de la nature environnante - et pas malgré elle.
Au fil des mois qui passent et des rencontres, dans une société où le rire est érigé en remède suprême contre la peur ou la tristesse, il apprend à apprécier ce qui est, sans se soucier de ce qui aurait pu être, et trouve ce à quoi il aspirait : l'aventure, l'immensité, l'harmonie, l'amour.
Roman chaleureux et humaniste, qui dénonce notamment les ravages de la colonisation du Groenland par le Danemark, Imaqa est un hymne à la tolérance et à la douceur, porté par un humour irrésistible.

 

Mon avis : 
Deux de mes amies ont vraiment aimé ce livre, il ne me tentait pas trop mais je me suis dit : pourquoi pas ? 
J'ai calé à la moitié... et pourtant certains passages m'ont fait sourire, ce peuple rit beaucoup, les gens se font des farces, tout est prétexte à faire la fête.

Un passage qui me restera : L'attente du bateau qui va enfin livrer le.... papier toilette ! 

Peut-être ne l'ai-je pas lu au bon moment mais je m'endormais assez vite sur ma lecture le soir. C'est sans doute pour cette raison que j'avais du mal à m'y remettre, de plus je ne me suis pas particulièrement attachée à cet instituteur. D'ailleurs l'histoire ne parle presque pas de son travail et c'est ce à quoi je m'attendais.

C'était un peu lent pour moi, j'ai besoin de lectures plus rythmées en ce moment.  

 

Livre du club de lecture
   avec mes copines

       

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27 avril 2014 7 27 /04 /avril /2014 22:05

                                                 

Quatrième de couverture :
La robe en miel était le point d’orgue de la collection automne-hiver de Marie. À la fin du défilé, l’ultime mannequin surgissait des coulisses vêtue de cette robe d’ambre et de lumière, comme si son corps avait été plongé intégralement dans un pot de miel démesuré avant d’entrer en scène. Nue et en miel, ruisselante, elle s’avançait ainsi sur le podium en se déhanchant au rythme d’une musique cadencée, les talons hauts, souriante, suivie d'un essaim d’abeilles qui lui faisait cortège en bourdonnant en suspension dans l’air, aimanté par le miel, tel un nuage allongé et abstrait d’insectes vrombissants qui accompagnaient sa parade.

Nue est le quatrième et dernier volet de l'ensemble romanesque MARIE MADELEINE MARGUERITE DE MONTALTE, qui retrace quatre saisons de la vie de Marie, créatrice de haute couture et compagne du narrateur.
 
Par sa lecture, Jean-Philippe Toussaint révèle toutes les nuances des mille et un visages de Marie, dont l’absence autant que la présence peuplent d’images le rêve éveillé qui habite le narrateur jusqu’à l’obsession.

Mon avis : 
Ce livre audio est en fait le quatrième volume de l'histoire de Marie, créatrice de haute couture. Je ne sais pas si c'est la raison pour laquelle je n'ai pas accroché à cette histoire ou si c'est le ton du lecteur qui ne m'a pas convenu.

Toujours est-il que je n'ai pas pu aller au bout de ce livre audio qui était pourtant très court  (3h50), je m'ennuyais et j'ai abandonné les personnages en cours de route.

Je m'aperçois que je ne raffole pas des livres lus par leurs auteurs, cela s'est vérifié pour celui-ci mais aussi pour Pierre Lemaitre et Eric-Emmanuel Schmitt. Le seul que j'ai aimé un peu c'est Mathias Malzieu bien qu'il lise son texte bien trop vite.

"Nue" est ma dixième lecture pour le prix Audiolib, j'ai donc terminé la sélection, il ne me reste plus qu'à classer tous les titres par ordre de préférence.
 

L'avis de Bladelor.

 

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 22:03

                                          

Quatrième de couverture :
« D’abord, je vais vous raconter le hold-up que nos parents ont commis. Ensuite les meurtres, qui se sont produits plus tard. »
Great Falls, Montana, 1960. Dell Parsons a 15 ans lorsque ses parents braquent une banque, avec le fol espoir de rembourser un créancier menaçant. Le hold-up échoue, les parents sont arrêtés, et Dell a désormais le choix entre la fuite et l’orphelinat. Il traverse la frontière et trouve refuge dans un village du Saskatchewan, au Canada. 

Il est alors recueilli par le propriétaire d’un hôtel, Arthur Remlinger, qui le prend à son service. Charismatique, mystérieux, Remlinger est aussi recherché aux États-Unis... C’est la fin de l’innocence pour Dell qui, au sein d’une communauté pour qui seule compte la force brutale, cherche son propre chemin. Canada est le récit de ces années qui l’ont marqué à jamais. Ce roman, d’une puissance et d’une beauté exceptionnelles, marque le retour d’un des plus grands écrivains américains contemporains.Bien loin de tempérer la sourde violence du roman de Richard Ford, l’interprétation maitrisée de Thibault de Montalembert en exalte la démesure sans sacrifier la subtilité des échos qu’elle trouve dans les sentiments humains.

Mon avis : 
Avec ce livre, j'ai expérimenté une nouvelle impression avec un livre audio : l'ennui.... après quelques chapitres j'ai même commencé à zapper, à passer au chapitre suivant directement, puis de chaptire en chapitre je me suis dit que cela ne servait à rien de continuer.

L'auteur met en place tous ses personnages, il raconte leur vie, rien de palpitant même s'il est vaguement question d'un hold-up. J'ai trouvé que c'était loooonnng et mou. Je n'ai pas accroché du tout.

Je fondais des espoirs sur le lecteur car j'avais entendu dire qu'il était bon, il l'est sûrement mais ici sa façon de lire est soporifique à mon goût.

Ce n'était clairement pas une lecture pour moi. Tant pis.

 


avec EnnaSylire
        Mrs BValérie


       Catégorie lieu

 

   

        Chez Valérie

 

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11 avril 2014 5 11 /04 /avril /2014 22:06

                                       

Quatrième de couverture :
« Pour le commerce, la guerre présente beaucoup d’avantages, même après. »
Au lendemain du plus grand carnage du xxe siècle, deux rescapés des tranchées, passablement abîmés, prennent leur revanche en réalisant une escroquerie aussi spectaculaire qu’amorale.
Des « sentiers de la gloire » à l’apologie de la patrie victorieuse, ils se joueront d’une piété qui n’honore les morts que pour mieux oublier les survivants. Fresque d’une rare cruauté, Au revoir là-haut est le grand roman de l’après-guerre de 14. 

Dans l’atmosphère délétère des lendemains qui déchantent, Pierre Lemaitre compose la grande tragédie de cette génération perdue avec un talent et une maîtrise impressionnants.
 

Mon avis : 
Je ne débordais pas d'enthousiasme au moment de découvrir ce livre audio, il faut dire que je n'avais pas trop aimé la version papier. 

Mon avis sur la version papier est ici.

Je gardais un petit espoir car la voix d'un lecteur peut parfois me faire changer d'avis.

Hélas ! Ce ne fut pas le cas, je n'ai pas du tout accroché à la voix de Pierre Lemaitre qui lit lui-même son roman. Il n'a pas une voix claire, je n'ai pas aimé ses intonations. Cet avis est tout à fait personnel et n'engage que moi !

J'ai insisté, je me suis dit que j'allais m'habituer et puis j'ai lâchement abandonné après le premier tiers du livre environ. Sans regret.

Il faut dire aussi que ce livre audio dure quand même près de 17 h et je ne me voyais pas continuer sans aucun plaisir d'écoute.

 

 

 

 

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18 mars 2014 2 18 /03 /mars /2014 23:05
Quatrième de couverture :
Rose et Ned forment depuis cinquante ans un couple exemplaire aux yeux de la bonne société anglaise. Pourtant, à la mort de Ned, Rose tombe le masque et dévoile la double vie qu'elle s'est offerte pendant toutes ces années avec Mylo Cooper, l'anticonformiste, son grand amour. Duplicité, hypocrisie, voilà le portrait d'une société anglaise engluée dans les convenances. Un monde où chacun cherche à percer les secrets des autres, tout en préservant jalousement les siens. Avec cette écriture pétillante et poivrée qui n'appartient qu'à elle, Mary Wesley nous dit son attachement pour ces êtres immoraux, que l'on adore détester.

Mon avis : 
Rose se marie à 18 ans avec Ned alors qu'elle vient de rencontrer Mylo dont elle tombe amoureuse. Un mariage de convenance, une vie de convenance.

Quand la quatrième de couverture parle de double vie il n'est en fait question que de rencontres épisodiques, c'est surtout de la vie de Rose qu'il est question, du voisinage, des amis.
J'ai bien aimé le début du livre, faire connaissance avec tous les personnages, leur mode de vie, leurs hypocrisies.
Puis je me suis lassée de leurs histoires et au final je n'ai pas été emballée, je me suis accrochée pour laisser tomber aux deux tiers du livre car je n'avais plus de plaisir à le reprendre.

Dommage ! 

 

Livre issu de ma 

       Catégorie gros mot
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22 février 2014 6 22 /02 /février /2014 23:09
Quatrième de couverture :
Qui a tué Ifan Evans? Si personne ne croit Gwenni, douze ans et demi, lorsqu'elle affirme pouvoir voler ou entendre la terre chanter, la fillette est cette fois-ci déterminée à prouver ses talents... de détective. Même s'il lui faut pour cela remonter les secrets de famille de son petit village du pays de Galles, au risque de dévoiler des drames bel et bien enterrés.


À la croisée du conte et du polar, de l'enfance et du crime, une virée ensorcelante, fraîche et poétique au coeur des années 1950.

Mon avis : 
A l'époque de la sortie de ce livre il m'avait semblé avoir lu de bons avis, des avis très positifs. Je fondais donc de bons espoirs sur cette lecture... et c'est bien ça le problème, je pense que j'en attendais trop. De plus la quatrième de couverture parle d'une enquête qui a à peine commencé aux deux tiers du livre.

C'est lent, on découvre la vie des gens du village, la vie d'une petite fille un peu originale, il est beaucoup question de la fête paroissiale et d'un renard mort. 

J'ai persévéré quand même mais au bout d'un moment ce n'était plus possible, je n'avais vraiment plus envie de m'y remettre. 

Ce que j'ai préféré dans ce livre c'est donc la couverture !

 

Livre issu de ma 

       Catégorie matière

 

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